Accord fondamental
(Ger. Stammakkord), terme utilisé dans la théorie de l’harmonie pour indiquer le contraire d’un accord dérivé. On entend par F. C. on construit simplement en tiers: ainsi triade, corde du 7e ou corde du neuvième; les inversions de ces accords (accords dérivés), dans lesquels la note la plus grave est la 3ème, 5ème ou 7ème, sont les accords de six-cinq, de six-quatre-trois et de six-quatre-deux, etc. Mais le terme FC est fréquemment utilisé pour désigner des harmonies pures, à la différence de celles modifiées par des modifications ou des suspensions.
Note fondamentale
est le nom donné par deepbass à cette note qui, dans une construction de la corde par tiers, est la plus basse; par exemple, c dans c. e. g. ou g en g. né le d.f. Lorsque le F. N. est une note de basse, l’accord est dans sa position fumiamaital; quand il est dans une autre partie ou une autre voix, l’accord est inversé. (Voir Accord majeur, Accord mineur, etc.) Cependant, selon la conception moderne d’une triade mineure, la note fondamentale est sa note la plus haute. (Voir Clang.)
position fondamentale
La position fondamentale d’un accord est en profondeur cette distribution de notes qui montre la note fondamentale en tant que note de basse. Nous avons donc, en a, des accords dans F. P .; en b, en revanche, sous sa forme inventée (troisième, cinquième comme note de bas): (€ /. Accord majeur et mineur et Septième, Accord de.)
gamme fondamentale
(Ger. Grundscala) est la succession par degrés des des notes sur lesquelles est basé un système de musique et auxquelles s’opposent d’autres notes reçues dans le système. La gamme fondamentale de notre système de musique occidental européen est limité à sept notes; le huitième (l’octave) se réfère au premier, en est dérivé, porte le même nom; les sept notes portaient à l’origine les noms des sept premières lettres de l’alphabet – a, b, c, d, e, f, g – mais, par une complication particulière des relations, h en Allemagne a pris la place de la naissance les différents types de division d’octave de l’échelle de l’alphabet, voir Notation de lettre, B et Signes chromatiques.) Notre notation actuelle n’est qu’un déguisement, pas un déplacement de l’écriture tonale au moyen de lettres; car au lieu d’écrire devant chaque ligne et chaque espace une lettre pour indiquer le nom des notes tombant sur la même, nous sommes satisfaits de la signature d’une seule lettre-clé pour chaque système de cinq lignes. (Voir Clef.) Le F.S. est et était, dans les temps anciens, la succession de deux tons entiers, un demi-ton, trois tons entiers, un demi-ton, qui se répète de la même manière dans les octaves plus hautes et plus basses. L’espèce octave des Grecs (voir Musique grecque, II.), Ainsi que les modes de l’église (qv) du Moyen Âge, ne sont rien d’autre que des sections de la boussole d’une octave extraites de ce FS Des sept genres possibles (c – c’, d – d’, e – e’, f – f’, g – g’, a – a’, b – b’, sans signature), seuls deux ont une importance typique pour l’expérience générale de notre époque, à savoir. : c’est-à-dire la gamme majeure sans signature (la gamme fondamentale majeure) et; c’est-à-dire la gamme mineure sans signature (la gamme fondamentale mineure). Comme il est montré plus en détail sous Échelle mineure, l’échelle mineure, si elle doit être considérée comme un type, doit être notée à partir de la note mineure, auquel cas elle apparaît comme étant l’exact contraire de la gamme majeure: 2.i. 2 Am Si les relations de la gamme fondamentale fondamentale (2, I, 3, I) doivent être établies à partir d’une note autre que c (transposée à un autre degré), des modifications de certaines notes de la gamme fondamentale deviendront nécessaires, par ex. pour d — d ‘: Sans les objets tranchants, la succession serait: 1, 1/2, 3, 1/2, 1. Différentes transpositions de la gamme fondamentale sont données dans les notes sous la clé.
Funebre
(Ital.), Funèbre, triste.
Funzioni
(Ital.), Fonctions, offices, services – par exemple dans l’Église catholique romaine.
Fuoco
(Ital.), Foco, feu; con fuoco, fuocoso, d’une manière ardente.
Furia
(Ital.), Rage, fureur; furioso, furibondo, furieux.
Furiant
une danse bohémienne animée aux accents en alternance. Türk (“Klavierschule”, 1789) l’appelle Fürie.