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triad majeur
est le son ensemble d’un ton principal, avec un cinquième supérieur pur et un tiers supérieur (majeur). Les trois tons se mélangent pour présenter l’unité du clang majeur (Upperclang, voir Clang). N’importe lequel des trois tons peut être considéré comme représentatif de l’accord majeur; par exemple, c ou g ou e peut être compris uniquement dans le sens de la triade d’accords majeurs en do. Elle peut également être représentée par deux tons de l’accord majeur; par exemple, c: g ou c: e ou e: g; ces représentations par un ou deux tons ne sont cependant pas exempts d’ambiguïté, puisque chaque ton peut représenter trois accords majeurs et autant d’accords mineurs. (Cf. Klangvertretung). L’accord majeur et l’accord mineur sont les deux fondements de la structure harmonique; les accords dissonants n’en sont que des modifications. (Cf. Dissonance.)

triades secondaires
de la clé, dans la terminologie habituelle des systèmes d’harmonie sont les triades formées à partir des notes de la gamme à l’exception de la triade de la tonique et des deux dominantes, c’est-à-dire, par exemple, en Do majeur, c. e. g, g.b. d et f. a. c, sont les principales triades; d’autre part, a. c. e, e. g. b, d. f. a, et le triadborn diminué est b. d. f, sont des triades secondaires. En la mineur, a. c. e, d. f. a et e. g dièse. b (e. g. b) sont les triades principales; et c. e. g, f. a. c, g. b. d, g dièse diminué, b d et b d f, et le c augmenté. e. g dièse, triades secondaires.

Jean Claude Trial
compositeur de l’Opéra français, né le 13 décembre 1732 à Avignon, décédé le 23 juin 1771 à Paris. En 1767, ie était, conjointement avec Berton, directeur du Grand Opéra, et écrit 4 Opéras (Esope à Cythère (1767), La Fête de Flore, Sylvie (avec Berton), et Théonis), musique à La chercheuse d’esprit, aussi cantates et des œuvres orchestrales.
Son neveu
Armand Emanuel Trial
né le 1er mars 1771, Paris, y mourut le g septembre 1803, écrivit aussi un certain nombre d’Opéras, et en effet avec succès. Il a ensuite épousé une actrice, mais s’est livré à un cours de vie irrégulier et est mort à un âge précoce.

triangle
(Lat.), Un instrument de percussion commun dans l’orchestre. Il est de la construction la plus simple, consistant en une tige d’acier pliée en forme triangulaire, qui, lorsqu’elle est frappée par une autre tige, émet un son de choc élevé. Le marquage du rythme (sur une ligne) suffit pour la notation du triangle.

trias
(Lat.), Terme utilisé dans les traités latins de la théorie de la musique au sens de la triade (trias harmonica) ; trias defciens, le diminué; (trias abondans ou superflua, la triade augmentée.

Trichter
(allemand), nom donné à la partie supérieure des tubes des tuyaux d’anche de l’orgue, en particulier de ceux à son puissant (Posaune, trompette).

Tricinium
(Lat.), composition pour trois voix (a cappella). (Cf. Bicinium.)

festivals triennales
représentations avec chœur et orchestre d’une taille exceptionnelle, ne remontent pas au siècle dernier. Le plus ancien est celui de Birmingham. Des représentations y ont eu lieu à 1768, 1778 et 1784; mais de la dernière date à nos jours, à l’exception de deux pauses (en 1793 et ​​entre 1829-1834), des commémorations régulières de festivals triennales de Handel ont eu lieu à l’abbaye de Westminster en 1784, ’85 , ’86, ’87 et ’91, mais après deux festivals spéciaux de Haendel au Crystal Palace en 1857 et 1859, des festivals triennaux de Haendel ont été lancés; il y avait une modification de date (de 1886 à 1885) afin de célébrer la bi -centenaire du compositeur;
mais à cette exception près, ils sont restés triennaux jusqu’à présent.
Les Festivals du Bas-rhénan ont commencé à Elberfeld en 1817; mais en 1827, cette ville se retira de l’union. A Düsseldorf, il y avait des festivals en 1818, ’20, ’22, ’26, ’30, ’33, ’36, ’39, ’42, ’45, ’53, ’55, ’56 et ’60, depuis lesquels fois qu’ils ont été triennaux. A Cologne, des représentations furent données en 1821, 24, 28, 32; puis tous les trois ans, avec la pause 1858, 62, depuis laquelle ils sont régulièrement TF à Aix-la-Chapelle, en 1825, 29, 34, 37, 40, 43, 46, 51. ’54. ’57, ’61. Depuis lors, ils ont été régulièrement TF Les chefs d’orchestre ont été: Schornstein, 1817, ’19 ’23, ’27; Burgmiiller, 1818, ’20, ’21, ’22; Fr Schneider, 1824; Klein, 1828; Ferd. Ries, 1825, ’26, ’28, ’29, ’30, ’32. ’34; Spohr, 1826, 1840; Mendelssohn, 1833, ’35, ’36, ’38 , ’39, ’42, ’46; Kreutzer, 1841; Reissiger, 1843; Dorn, 1844, ’47; Rietz, 1845, ’56, ’64, ’67, ’69, ’73; Spontini, 1847; Lindpaintner, 185i, ’54; Hiller, 1853, ’55, ’58, ’60, ’62, ’65, ’68, ’71, ’74, ’77, ’80, ’83; F. Lachner, 1861, ’70 ; Liszt, 1857; O. Goldschmidt, 1863, ’66; Tausch, 1866, ’81, ’87; Rubinstein, 1872; Joachim, 1875, ’78; Breunun.-j, 1876, ’79; Gade, 1881; Wüllner , 1882, ’86, ’90; Reinecke, 1883; Brahms, 1883, ’84; Kniese, 1885; H. Richter, 1888, ’89, ’91; Schwickerath, 1888; F. Buths, 1893. Parmi les TF modernes être nommés ceux de N Orsvich, Leeds, Bristol.
De 1873 à 1888, des festivals triennaux ont eu lieu à Bristol sous la direction de Sir Charles Hallé. Le 7e (1890) eut lieu deux ans plus tard. En 1893, Hallé est chef d’orchestre pour la dernière fois. Les festivals de 1896, 1902 et 1905 étaient sous la direction de M. George Riseley. En raison de l’incendie de Colston Hall en 1898, aucun festival n’a eu lieu en 1899. Des festivals ont été inaugurés à Sheffield en 1896, le premier et le suivant en 1899 étant sous la direction de Sir August Manns. M. Henry J. Wood était chef d’orchestre en 1902, et Herr F. Weingartner en 1905. C’est au Dr Henry Coward, chef de chœur depuis le début, que l’on doit en grande partie le beau chant du chœur. Dans la principauté de Galles, il n’y avait pas de festival important — les Eisteddfodau nationaux ne sont qu’en partie musicaux — jusqu’à celui tenu à Cardiff en 1892, qui, avec celui de 1895, étaient sous la direction de Sir Joseph Barnby. Sept années se sont alors écoulées, les troisième, quatrième et cinquième ayant lieu en 1902, 1904 et 1907 sous la direction du Dr F. H. Cowen.

Trihémitonium
(= 3 demi-tons). Nom grec de la tierce mineure.

Trill
(Voir Shake.)

trio
(Ital.),
(1) une composition pour trois instruments; à l’heure actuelle, le terme généralement utilisé pour un trio pour piano, violon et violoncelle; il vaut mieux cependant distinguer ce dernier comme un trio avec piano. Le trio stritigué se compose, en règle générale, de violon, alto, violoncelle ou de deux violons et violoncelle; toutes les autres combinaisons d’instruments doivent être décrites plus minutieusement. Les compositions anciennes (17e-18e siècle) sont fréquemment appelées trios (à 3) lorsqu’elles sont écrites pour trois instruments concertants (par exemple, deux violons et une viole de Gamba); à ceux-ci s’ajoute une quatrième partie, bien que non comptabilisée comme telle, pour basse continue, à jouer au théorbe, au clavecin ou à l’orgue, etc. –
(2) Dans les pièces de danse (menuets, etc.), marches, scherzi, etc., pour piano, une section médiane de mouvement plus silencieux et de mélodie plus large, opposée au thème principal fringant du plus vif, est appelée un trio; autrefois, il était de coutume d’écrire de courtes sections de ce genre en trois parties, alors que la section principale n’en avait que deux. –
(3) Une pièce d’orgue à 3 pour deux manuels et pédale, également pour trois claviers, chacun avec un registre différent, donc que les trois parties puissent être nettement distinguées l’une de l’autre. Une particularité du trio d’orgue est qu’une mélodie legato peut être exécutée d’une main dans la même boussole dans laquelle la figuration est exécutée par l’autre main (sur le second clavier).