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Paisiello
(Voir Paesiello.)

Jakob Paix
organiste allemand, né en 1550 à Augsbourg, est probablement décédé vers 1590 comme organiste à Lauingen. Il a publié “Ein schon Nutz- und Gebrauchlich Orgel Tabulatur” (1583, contenant des motets à 4-12, des chansons, des passamezzi et d’autres pièces de danse en tablature); “Selectæ, artificiosæ et elegantes fugæ” (1587 (1590), à 2-4, et pièces en plusieurs parties arrangées pour l’orgue en partie par Jakob Paix, en partie par les maîtres les plus importants de l’époque); aussi le “Thesaurus motettarum” (1589, vingt-deux motets de divers auteurs), et deux messes de sa propre composition, une à 6, “Missa parodia” (1587), et une à 2-4, “Missa Helveta” ( 1584). Une petite brochure de Jakob Paix porte le titre “Kurzer Berichtaus GottesWort und bewiihrte Kirchen-Listorie von der Musik” (1589).

Émile Paladilhe
né le 3 juin 1844, dans un village près de Montpelier, a reçu son premier enseignement musical de son père, un célèbre médecin littéraire, puis à Montpelier de l’organiste de la cathédrale, Sebastian Boixet. A l’âge de neuf ans, il devient élève du Conservatoire de Paris, notamment de Marmontel (piano), puis de Halevy (composition) jusqu’en 1860, quand il reçoit Grand Prix de Rome, s’étant auparavant distingué en emportant plusieurs petits prix. Émile Paladilhe est membre du comité des frais de scolarité du Conservatoire et depuis 1892 membre de l’Académie en tant que successeur de Guiraud. Parmi ses compositions, il convient de mentionner la bande dessinée Opéras produite à Paris:
Le passant (1872),
L’amour Africain (1874),
Suzanne (1878) et
Diane (1885),
un grand Opéra, Patrie (1886),
outre une symphonie, deux messes, etc. Émile Paladilhe est devenu populaire grâce à sa «Mandolinata».

Palatal tone
(allemand, Gaumenton allemand). (Voir Embouchure.)