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Martin Pierre Joseph Marsick
violoniste distingué, né le 9 mars 1848 à Jupille (près de Liège), élève du conservatoire de Liège (Desire-Heynberg); de 1865 à 1867, au détriment de Princess v. Chimay, au Conservatoire de Bruxelles sous Leonard, reçut une formation complémentaire (1868-69) au Conservatoire de Paris sous Massart, et enfin, grâce à une bourse offerte par le gouvernement belge , devint élève privé de Joachim à Berlin (1870-1871). Il a fait ses débuts en 1873 avec beaucoup de succès aux “Concerts populaires” de Paris et depuis lors, il a parcouru l’Europe avec beaucoup de succès. En 1892, il devint professeur de violon au Conservatoire de Paris en tant que successeur de Massart. Martin Pierre Joseph Marsick a écrit un certain nombre de pièces de concert reconnaissantes pour violon (ainsi que trois concertos pour violon).

Martellato
(Ital., “Martelé”), c’est-à-dire frappé avec une grande force (bras staccato; piano).

Martellement
répétition de la même note sur la harpe, produite sur des harpes modernes à deux cordes, dont la basse, au moyen de la pédale, est mise à l’unisson avec la supérieure. Dans la vieille musique de clavier, M. représentait Mordent (q.v.).

Martianus Capella
(Cf. Capella.)

Jean Blaise Martin
célèbre chanteur (baryton) de l’Opéra Comique de Paris, né le 24 février 1768 à Roncières (près de Lyon), décédé le 18 octobre 1837 à Paris; il fit ses débuts au Théâtre de Monsieur (1788), chanta au Théâtre Feydeau jusqu’en 1794, puis au Théâtre Favart jusqu’à sa fusion avec le Théâtre Feydeau en Opéra Comique (1801), et jusqu’à ce dernier jusqu’en 1823. Jean Blaise Martin était un mauvais acteur, mais avait une voix noble et, au fil du temps, a acquis la routine nécessaire.

Pierre Alexandre Martin
facteur d’orgues à Paris, y mourut en décembre 1879; L’un des plus anciens fabricants d’harmonium et lui-même l’inventeur de plusieurs améliorations, par exemple de la «percussion», c’est-à-dire la frappe de la langue au marteau pour obtenir une parole plus rapide.

Vicente Martin y Soler
(nommé par les Italiens Martini “lo Spagnuolo”), né en 1754, Valence, décédé le 19 février 1806 à Pétersbourg; Il fut d’abord organiste à Alicante, puis se rendit en Italie sur les conseils d’un chanteur italien pour qui il avait écrit des airs. Il y fut bientôt célébré en tant que compositeur d’Opéras. Son premier ouvrage fut I figenia in Aulide (1781, pour Florence); jusqu’en 1784, trois autres suivirent pour Lucca, Turin et Rome, ainsi que plusieurs ballets. En 1785, Vicente Martin y Soler se rendit à Vienne, où il réalisa un triomphe avec son La cosa rara et fut reçu avec distinction à la cour de Joseph II. Ses œuvres y trouvèrent la faveur du public par opposition à celles de Mozart, comme en Italie par opposition à celles de Paisiello, Cimarosa et Guglielmi; maintenant ils sont oubliés. En 1788, il accepta un appel à l’Opéra italien de Pétersbourg. Il fut nommé conseiller d’État par Paul I. en 1798; mais en 1801, son champ d’activité disparut lorsque les Français, à la place de l’Opéra italien, firent leur apparition à Pétersbourg et donnèrent ensuite des cours. Martinez, Marianne di, née le 4 mai 1744 à Vienne, décédée le 13 décembre 1812, éduquée par Metastasio, élève de Haydn au piano, chanteuse, pianiste et compositrice (oratorios, psaumes, motetts, symphonies, concertos pour piano, etc.). , en manuscrit, sont en possession de la Gesellschaft der Musikfreunde.)