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Simon van Eyken
(Eycken, Du Chesne) (Voir QuERCU.)

Jan Albert van Eyken
(Eijken), né le 26 avril 1822 à Amersfoort (Hollande), décédé le 24 septembre 1868 à Elberfeld. Fils d’un organiste, il étudia le jeu et la composition pour orgue de 1845 à 1846 au Conservatoire de Leipzig et, sur le conseil de Mendelssohn, pendant quelque temps également avec Joh. Schneider à Dresde, et a donné des concerts avec un grand succès en Hollande. En 1848, il devint organiste à la “Remonstrantenkirche” d’Amsterdam, en 1853 à la “Zuyderkirche” et professeur à l’école de musique de Rotterdam. De 1854 à sa mort, il fut organiste à l’église réformée d’Elberfeld. En tant que compositeur, E. s’est fait connaître par ses pièces d’orgue (trois sonates, 150 chorales avec introductions, vingt-cinq préludes, toccata et fugue sur le nom BACH, variations, transcriptions, arrangements de fugues de Bach pour orgue, etc.) ; il écrivit aussi des ballades, des chansons, des quatuors à voix mixtes, une sonate pour violon, de la musique de la tragédie Lucifer.

Son frère Gerard Isaak Eyken,
né en mai 1832, est également organiste et, depuis 1855, est professeur de musique à Utrecht.

Dan. Simon Eÿkens
né le 13 octobre 1812, mort le 9 octobre 1891 à Anvers, compositeur (Opéras, messes, chœurs pour voix d’hommes, fantaisies pour piano sur des thèmes opératiques, etc.).

F
(1) Nom de lettre de la sixième note de notre alphabet musical (qv.), Le plus ancien de notre système musical, placé comme une clé (clavis signata) devant une portée. L’utilisation du ¥ -clcf remonte au dixième siècle. Du Xe au XIIIe siècle, la ligne F était généralement de couleur rouge (minium) et la ligne de c, en revanche, de couleur jaune (crocum), de manière à être plus visible. La clef a été à l’origine, et pendant des siècles, un véritable for / or, et n’a pris que peu à peu sa forme actuelle; : a “an”
En Italie, en France, etc., notre f est appelé f a (pour les noms de solmisation composés, Cf .. Mutation).
(2) Abréviation de forte; ff = fortissimo; fff = fortissimo fossibile.
(3) Les trous dans le ventre du violon, du ténor, du violoncelle et de la contrebasse, de par leur forme, Fa, en Italie, en France, en Belgique, en Espagne, etc., est le nom du son appelé / en Allemagne, en Angleterre, en Hollande, en Suède, etc. (Cf. Solmisation, aussi Mutation .)

Nikolaus Faber
par son nom, le plus ancien facteur allemand connu dans la fabrication d’orgues. Il construisit (1359-61) l’orgue de la cathédrale de Halberstadt, décrit par Praetorius (“Syntagma” 11).

Nikolaus Faber
publié en 1516 “Rudimenta Musicae” (2e éd. Révisée par Aventinus).

“Magister” Heinrich Faber
né le Lichtenfels, décédé le 26 février 1552, Oelsnitzi.V. ; il fut recteur en 1538 de l’école monastique St. George près de Naumburg, d’où il fut expulsé en 1545 à cause de chants satiriques contre le pape, puis devint recteur à Brunswick. Il est l’auteur de “Compendiolum musicae pro incipientibus” (1548, maintes fois republié; en allemand par Christoff Rid, 1572, et par Joh. Gothart 1605, tous deux republiés à plusieurs reprises en latin et en allemand par M. Vulpius, i6io (avec ajouts , sept éditions]. La traduction de Rid a été révisée par A. Gumpeltzhaimer, 1591, 1600, 1611, etc.), ainsi que “Ad musicam practicam introductio” (1550, 1558, 1563, 1568, 1571, etc.), Le “Compendiolum” n’est qu’un résumé.
Le recteur, Heinrich Faber, décédé à Quedlinburg en 1598, n’a rien à voir avec ces deux œuvres et son nom doit être radié des dictionnaires musicaux (Cf. La mention faite à ce sujet par Eitner dans le Monatshcfte fur Musikgeschichte, 1870, n ° 2.)

Benedikt Faber
(1602-31), qui était titulaire à Coburg, était compositeur de psaumes à 8, “Cantiones sacrae”, 4 -8, d’une cantate de Pâques. Cantate de félicitations, etc. (toutes apparues à Coburg).

Fabio
(voir Ursillo).

Steffano Fabri
maestro di cappella de Vatican de 1599 à 1601 et au Latran de 1603 à 1607. Il écrit deux livres de “Tricinia” (1602 et 1607).

Steffano Fabri
(le cadet), né en 1606, à Rome, décédé en août 27, 1658. Il fut l’élève de Nanini, vers 1648, maestro di cappella à l’église française de Saint-Louis et, en 1657, à Santa Maria Maggiore. Il a écrit les motets à 2-5 (1650) et Salmi concertati a 5 (1660).

Werner Fabricius
né le 10 avril 1633 à Itzehoe, décédé le 9 janvier 1679. Il étudia la musique à Hambourg avec Sellius et Scheidemann, ainsi que le droit à Leipzig et y devint avocat. mais en même temps, il occupa le poste d’organiste à l’église Saint-Thomas et celui de directeur musical à l’église Saint-Paul. Il écrivit: “Delicias harmonicas” (65 Pavanes, Alle mandes, etc., à 5, 1657), Arias sacré à 4-8, dialogues et concertos (1662).

Johan Albert Fabricius
fils de Werner Fabricius, né le 11 novembre 1668 à Leipzig, décédé le 30 avril 1736, en tant que professeur d’élocution à Hambourg. Il était un bibliographe distingué et avait publié “Thesaurus antiquitatum hebraicarum” (1713, 7 vols.), “Bibliotheca grasca sive notitia scriptorum veterum graecorum” (1705-28, 14 vols.), Qui constituaient tous trois des ouvrages de référence importants concernant histoire de la musique.

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France