w_226

Extempore playing
improviser, jouer sans préméditation.

dièse étranger, bémol étranger
sont tels qu’ils n’appartiennent pas à la clé.

extrême
(1) augmenté, en parlant d’intervalles.
(2) La partie la plus basse, ou la plus haute, en parlant d’écriture partielle ou de musique partielle.

Joseph Eybler
(né en 1834 à Edler von), né le 8 février 1765 à Schwechat, près de Vienne, où son père était maître d’école, décédé le 24 juillet 1846 à Schönbrunn. Il suivit sa formation musicale à Vienne, au séminaire pour garçons, sous Albrechtsberger (1777-1779), était destiné à la loi et n’adopta la musique comme profession que lorsque ses parents, par malchance, n’étaient plus en mesure d’assister lui. Les relations amicales avec Haydn et Mozart lui étaient maintenant utiles, car ils le recommandaient à l’éditeur Artaria et aidaient à faire connaître ses capacités musicales. E. a soigné Mozart au cours de sa dernière maladie et la veuve du compositeur lui a confié la tâche de remplir le Requiem. (En 1792, il devint chef de choeur de l’église carmélite, en 1794 également du “Schottenstift”, en 1804, vice-président “Hofcapellmeister”, en 1810, maître de musique des princes impériaux et en 1824, à la retraite de Salieri, principal capellmeister. En 1833, alors qu’il dirigeait l’interprétation du Requiem de Mozart, il fut pris d’un coup d’apoplexie et fut obligé de renoncer à toute activité, tant en tant que chef d’orchestre que compositeur. Sacré compositeur, il occupe une position honorable (trente-deux messes, dont sept sont imprimées, un requiem, deux oratorios, sept Te Deum, trente offrandes, dont sept sont imprimées, etc.); beaucoup de ses œuvres d’Eybler Fabricius sont toujours jouées à Vienne. Ses symphonies, quatuors, sonates, concertos, chansons, etc. sont maintenant oubliés.

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France