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Edmond Duval
né le 22 août 1809 à Enghien (Hainault), élève du Conservatoire de Paris, dont il fut toutefois licencié en raison de son travail irrégulier. De retour dans sa ville natale, il se consacra avec ferveur au chant de l’Église catholique, que les “Vrais principes du chant grégorien” de l’abbé Janssen y déplacèrent. En conséquence de cet intérêt, l’évêque de Duval Dyck Malines lui confia la commission de réviser le rituel religieux du diocèse et de le rééditer sur la base de ses recherches historiques. Il se rendit à Rome à cette fin et, à son retour, “Graduale” (1848), “Vesperale” (1848), “Processionale” (1851), “Rituale” (1854), etc. sur quelques publications des XV-XVII siècles, pour le diocèse de Malines. En outre, des études sur ces divers recueils de chansons sont apparues, ainsi qu’un traité sur l’accompagnement pour orgue de la chanson grégorienne, etc. Ces publications ont toutes été violemment attaquées par des connaisseurs, qui déclarent que les œuvres de Duval ne sont pas des améliorations, mais qu’elles sont en partie pénibles. idées fausses (Fetis).

Frédéric Duvernoy
(Duvernois), né le 16 octobre 1765 à Montbéliard, décédé le 19 juillet 1838 à Paris; il était le principal joueur de cor au Grand Opéra et, jusqu’à la suspension temporaire du Conservatoire (18 h 15), était également professeur de cor dans cette institution. Il a écrit de nombreux concertos pour cor et des pièces de chambre avec cor.

Charles Duvernoy
(Duvernois), frère du premier, né en 1766 à Montbéliard, décédé le 28 février 1845, était clarinettiste et membre des orchestres du “Théâtre de Monsieur “et” Feydeau “à Paris, professeur de clarinette au Conservatoire (retraité en 1802); il écrivit des sonates pour clarinette.

Henri Louis Charles Duvernoy
(Duvernois), fils de Charles D., né le 16 novembre 1820 à Paris, élève de Zimmermann et Halevy au Conservatoire; à partir de 1838, il fut assistant et à partir de 1848, professeur titulaire de chant. Il publia plusieurs ouvrages vocaux instructifs et quelques notes de piano léger.

Charles François Duvernoy
(Duvernois), né le 16 avril 1796 à Paris, décédé le novembre 1872, a longtemps été chanteur d’opéra à Toulouse, Havre, au La Haye, et aussi à Paris à l’Opéra Comique (a fait ses débuts en 1830 et est réapparu en 1843), dont il était également, pendant quelque temps, rggeuveuv. En 1851, il devint professeur de chant lyrique au Conservatoire et en 1856, surintendant du Pensionnat des ruches du chant.

Victor Alphonse Duvernoy
(Duvernois), né le 30 août 1842 à Paris, élève de Marmontel et Bazin au Conservatoire. , pianiste compétent et compositeur doué; En 1869, il fonda régulièrement des soirées de musique de chambre, avec Leonard comme premier violoniste.

Jean-Baptiste Duvernoy
né le 11 mai 1801 à Varzy, la Nièvre, mort le 16 mars 1880 à Paris, pianiste et compositeur français.

Dux
(Lat., “Leader”) est le sujet d’une fugue (q.v.), tel qu’il est indiqué au départ par la partie (ou la voix) qui commence la fugue.

Jes Lewe Duysen,
né le 1er août 1820 à Flensburg, mort le 30 août 1903 à Berlin.
Il a fondé en 1860 à Berlin, une manufacture de pianoforte jouissant d’une renommée distinguée et d’un commerce important.

John Sullivan Dwight
né le 13 mai 1813 à Boston, a reçu sa formation scientifique au Harvard College et à la Training School de Cambridge; En 1840, il fut ordonné pasteur d’une chapelle unitarienne à Northampton (Massachusetts), mais abandonna ce poste sacré et se consacra entièrement à l’œuvre littéraire. En 1S52, il créa un journal musical, “Dwight’s Journal of Music”, qui est non seulement le plus ancien et le meilleur journal musical américain, mais a également publié des essais historiques sous la plume de Thayer. (Cf. Harvard Association.) Décédé le 9 septembre 1893 à Boston. Son “Dwight’s Journal of Music” cessa de paraître en 1881.

Dyck
(Voir Van Dyck.)

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France