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Détaché
staccato. Dans le cadre de Cordes frottées grande Détaché =: grand staccato; détaché, sec. = Courte staccato.

Determinato
(Ital.), Déterminé; de manière résolue.

Detonieren
(Allemand; Fr., détonner), à chanter faux; à glisser vers le bas de la hauteur-un défaut très commun parmi les chanteurs imparfaitement formés. Detonieren est souvent le résultat d’une certaine indolence naturelle, dans ce cas, il peut facilement être guérie; mais l’intonation impure, causée par une oreille musicale défectueux, est une question plus grave. Ce chœurs un cappclhi tombent facilement en tangage – c’est-à-dire, finir plus bas que ils commencèrent, en règle générale, la faute de Detonieren, l’évolution des relations de tons acoustiques, qui dans les temps modernes ont souvent été tenues pour responsables de cela, serait tout comme susceptibles de provoquer le terrain à augmenter; cela arrive, mais rarement, et est, dans la plupart des cas, le résultat d’un effort délibéré de la part de particuliers chanteurs.

Wilhelm Dettmer
chanteur de scène unique (basse), né, le 29 Juin, 1808, Breinum, près de Hildesheim. Il était le fils d’un paysan, fréquenta le lycée à Hildesheim et le séminaire pour les enseignants de l’école à Alfeld, mais se sont enfuis, et a rejoint une troupe de comédiens ambulants. Après qu’il avait été engagé depuis un certain temps dans des positions subalternes à Hanovre, Brunswick, Breslau, et Cassel, il est apparu en 1842, à Dresde, en tant que chanteur de premier rang; mais il encore étudié sous Mieksch. Quand il a échangé Dresde Francfort, une rente viagère lui était assuré. En 1874, il se retira de la scène. Il était aussi bien dans des rôles comiques et tragiques.

Deuterus
(Authetitics Deuterus). (Voir Modes de l’Église.)

Deutsche Tabulatur
(voir, tablatures (2).)

Deutsche Tänze
ou tout simplement Deutsche (Allemand), Littéralement, “danses allemandes.” Un nom pour les vieilles valses lentes.

Deutz
(Voir Magnus).

Développement
concerne cette section, dans les formes plus larges de composition, dans lesquelles les idées (sujets) principales (précédemment énoncées) du mouvement sont élaborées indépendamment, c’est-à-dire que les motifs sont mélangés et combinés de diverses manières. Surtout dans la plus importante de toutes les formes instrumentales modernes, la forme sonate, le développement suit directement la répétition (répétition des sujets), se tenant ainsi entre la première déclaration des sujets et leur entrée finale. Dans la fugue, le parcours du sujet (comme Dux et Comes), une fois à travers toutes les voix concernées, est un développement, de sorte que l’on parle aussi d’un deuxième et d’un troisième développement dans une fugue. En tout cas, le terme développement est dérivé de la fugue, puisque le développement d’un mouvement en forme sonate prend aussi de préférence une tournure fuguée. (Cf. Forme.)

François Devienne
né le 31 janvier 1759 à Joinville (Haute-Marne), mort le 5 septembre 1803, dans l’asile d’aliénés de Charenton; performer sur le fiute et basson, membre de la bande de la “Musique des Gardes-Suisses” à Paris, basson-joueur dans l’orchestre du Théâtre de Monsieur (1788), plus tard professeur au Conservatoire, et, quand il était réorganisé en 1802, a reçu une pension. Il a écrit onze opéras et d’opérettes, de nombreuses pièces concertantes pour instruments à vent avec orchestre, flûte et basson concertos, quatuors, trios et sonates pour cordes instruments à vent et, douze suites pour instruments à vent (à 8 et à 12), et une méthode de flûte importante (1795).

Devozione
(Ital.), La dévotion. Con devozione, avec dévotion.

Dextra
(Lat.), À droite (la main).

Dezède
(aussi Desaides), né vers 1740 à Lyon, mort en 1792 à Paris, un compositeur d’opérette très admiré français, qui, depuis 1772, a fait sortir à Paris dix-huit pièces (1-3 actes), qui étaient également dans partie, donnée en Allemagne (Julie). Quatre opéras sont restées inexécutées.

Antonio Diabelli
né le 6 septembre 1781 à Mattsee, près de Salzbourg, mort le 7 avril 1858 à Vienne; il a reçu sa première formation musicale comme choriste au monastère de Michaelbeurn, et ensuite à la cathédrale de Salzbourg; il a étudié à la “Lateinschule,” Munich, et en 1800 est entré au monastère de Raichenhaslach. Michael Haydn dirigeait ses tentatives de composition. Lorsque, en 1803, les monastères de Bavière ont été sécularisées, il se rendit à Vienne, où il a vécu d’abord comme enseignant du piano et de la guitare, puis est entré en partenariat avec l’éditeur de musique Cappi, et en 1824 a repris l’entreprise d’édition pour son propre compte (Diabelli & Co.). En 1854, il a vendu son entreprise à C. A. Spina. Il était un compositeur très prolifique et prêt, mais de ses œuvres uniquement les pièces instructives de piano (sonatinas, duos de Sonata, etc.) ont vécu, tandis que son opéras, messes, cantates, musique de chambre, etc., ont été vite oublié. Il était principal éditeur de Schubert: il a payé le compositeur mal, et, en plus, lui reprochait de trop écrire.

Diapason
(1) le nom grec pour l’octave.
(2) Avec le français, l’expression, dans un sens métaphorique, se dresse pour la mesure des instruments, par exemple, pour flûtes, hautbois-la détermination de la distance exacte des ouïes. Diapason normal: l’octave normale à l’égard de l’oreille absolue. Ainsi Diapason, même sans aucun ajout, signifie terrain “, chambre-terrain”, “pas de Paris”, et enfin est utilisé pour le Diapason.
(3) Il est aussi le nom de la fondation principale cesse de l’orgue.

Diapente
nom grec de la cinquième.

Diaphonia
(1) terme grec pour la dissonance, contrairement à symphonie, ou consonance.
(2) Au début du Moyen-Âge (du 9e au 12e ciècle) Le terme Diaphonia était identique à Organien (q. v.), soit la forme la plus primitive de la polyphonie continué mouvement parallèle en quarts ou cinquièmes seulement brisé, dans des cas exceptionnels, par tiers, secondes, ou unissons.

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France