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Cloche
une cloche.

Clochette
une petite cloche.

Affinité
Le sentiment d’un proche dans la musique dépend de deux choses-rythmique symétrie et la conséquence harmonique. La nature de l’ancien est expliqué sous Mètre, l’art de la; celui-ci dépend de la nécessité pour la tonalité claire, à savoir la relation uniforme d’une série harmonique à un son principale, la tonique. Chaque écart par rapport à la tonique est, au sens strict, un conflit qui ne peut être réglé par un retour à la même; dans la clé de ce conflit est le plus fortement exprimé par la sous-dominante qui apparaît dans une véritable opposition à la tonique, tandis que les fils supérieurs dominante retour à la tonique. (Pour en savoir plus sur ce sujet voir “Musikalische Syntaxis,” de Riemann 1875, et son “Systematische Modulationslehre,” 1887.) La base de la progression tonale logique doit être trouvé dans tonico-sous-dominante supérieur dominant-tonique. L’effet d’un proche parfaite dépend, harmoniquement, sur la succession, supérieur à dominante tonique (au moins dans une tonalité majeure), la soi-disant Affinité authentique; le retour de la sous-dominante à la tonique est pas une solution réelle du conflit, mais seulement, pour ainsi dire, une rétractation, une renonciation à une formation supplémentaire, la soi-disant Affinité plagale. En dehors de cette distinction, qui, comme déjà dit, ne convient pas exactement à la clé mineure, l’eflet d’un proche, en général, dépend, harmoniquement, sur la retuin de certains son liée à la principal (ce son lié peut même être, par exemple, un troisième son. Cf. succession de son.) Un vrai effet de Affinité est estimé, cependant, que lorsque la tonique de conclusion entre sur un beat qui a le pouvoir de cadentielle rythmique, à savoir celui sur lequel la symétrie peut arriver à une conclusion appropriée. (cf., Mètre, l’Art de) Un effet de cadence comme se pose également lorsque le haut-dominante pénètre sur un temps capable, de façon marquée, de près; on appelle cela un demi-Affinité. La moitié étroite produit des articulation définie; il forme une césure forte, mais ne perturbe en rien la symétrie, à savoir la construction se déroule tranquillement et de façon symétrique. La raison de ceci est que le haut-dominante, en tant que membre de la cadence avant la tonique finale, on aboutit à attendre à ce dernier; mais, si elle peut ensuite réapparaître, il est pas comme une fin, mais comme un nouveau comimencement. La sous-dominante à un moment d’une telle puissance cadentielle rythmique produit tout à fait un effet différente; comme un véritable accord contradictoires, il se précipite en avant à une terminaison près, et perturbe la symétrie en proportion de la puissance fermeture du battement de son entrée. La sous-dominante à la quatrième ou la huitième bar mène presque invariablement à une perturbation de la construction symétrique, puisque, en règle générale, un proche suit deux barres plus tard. Il faut tout de suite l’effet d’un proche, et toujours produit une double relation (phrasé Double). Le soi-disant affinité trompeuse produit une modification particulièrement importante de la cadence à effet; pour cela dans toutes les parties effectuent la cadence selon la règle, mais la basse se déplace vers le haut d’un degré, au lieu de procéder de ton fondamental de la dominante à celle de la tonique. La cadence est trompeuse alors une affinité véritable, mais perturbé par une note étrangère. Ce bruit étrangère donne naturellement impulsion à la formation plus loin, mais ne pas oblitérer le sentiment d’une section principale; elle exige, pour ainsi dire, une rectification, une nouvelle cadence, sans la perturbation malvenue. Pour les formes pures ici expliqués nombreux ceux mixtes peuvent être ajoutés, surtout l’emprunt de l’affinité trompeuse de la tonique mineure, soit pour c majeure celui appartenant à ut mineur, et vice-versa; et de nouveau le changement de la underdominant survenant sur un temps cadence, dans le second supérieur dominante par le relèvement de sa note fondamentale, de sorte que, pour le reste, son effet de presser à sa fin ne soit pas modifié. Modifications purement rythmiques de l’affinité. On obtient en retardant l’entrée de la tonique de clôture au moyen de suspensions; l’effet de ces est renforcée si directement avant la closebeat la sous-dominante pénètre, de sorte que la partie supérieure dominante pénètre seulement sur le temps final, produisant tout à fait l’effet d’une suspension de la tonique. Tous les cadences qui, en raison de suspensions, doivent être mis fin sur le temps faible suivante (peu importe l’ordre) sont appelés féminine (weibliche), afin de les distinguer de la parfaite, ou masculine. L’anticipation syncopé de la corde de fermeture est elle-même qu’une modification rythmique. Dans le style polyphonique du 15e et du 16e siècles, en particulier dans la musique ancienne construite sur les modes de l’église, une connaissance des cadences était d’une grande importance, parce que le système indéfini de l’harmonie dans les ferme de plusieurs sections et sous-sections doit avoir besoin particulier la gestion si un effet réel de cadence devait être obtenu. Seulement maintenant, quand nous commençons à comprendre les principes de la formation harmonique de mouvements, faire nous devenons conscients des difficultés qui écriture polyphonique dans les modes de l’église a dû coûter. Aujourd’hui, nous savons que l’effet d’un proche est seulement possible par l’intermédiaire du retour de quelques sons directement liées à la tonique, et que, pour porter le cachet de la tonalité précise qu’il doit y avoir des relations, non seulement de la connotation, mais aussi à partir de la série de voix. Maintenant, dans le mode phrygien (e – e’, bécarre), prenant la mi mineur comme tonique accord (qui ne sont pas, en effet, correcte, mais était pour une longue période prise donc), les relations supérieurs sont entièrement manquent : – phrygien: d f a c e g h et, d’autre part, dans le mode dorien (d-d ‘)- Dorian: d f a c e g h. dans le Lydian les relations , et dans le Mixolydian, – Lydian: f a c e g b d Mixolydian: f a c e g h c. Néanmoins, avec une compréhension imparfaite de la signification originelle du modes d’église (voir ce terme), pendant des siècles, il y avait une lutte pour harmoniser ces quatre systèmes. Ceci, bien sûr, conduit à toutes sortes de concessions, départ c-à-dire de la sorte d’harmonie appartenant effectivement à ces échelles, en particulier dans les ferme; tandis que, à l’exception des ferme, morceaux en gardant strictement les modes étaient nécessairement indéterminée dans la tonalité. Les concessions étaient: introduction de la sous-demi-ton (de la septième majeure), c dièse pour le Dorian et f dièse pour la Mixolydian, et l’introduction de la sixième mineur pour le Dorian (si bémol), et de la parfaite quatrième pour le Lydian (si bémol). De là tout à fait différents systèmes, à savoir. Dorian g Bb D F A C dièse (Mineur) Lydian: B bémol d f a c e g (Majeur) Mixolydian: C E G B d f dièse (Majeur Tonic-à-dire dans les cadences modes d’église ont changé dans nos touches modernes. Rien, cependant , pourrait être fait avec le phrygien, que le changement de d en d dièse trouvait au-delà de la sphère de cette période, et sans un changement simultané du f en f dièse ne serait même pas produit un résultat satisfaisant. D’où la grande difficulté à l’égard de phrygien Cadence (voir ce terme).

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France