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Succession de son
est la succession de deux accords à l’égard de leur sens de son. Afin d’être en mesure de parler de Succession de son, tous les accords, même le dissonante, doit être conçue et classée selon un sens de son; et à examiner la question d’un point de vue général, une terminologie est nécessaire: celui qui sera adapté, pas à un cas particulier, mais pour un grand nombre de cas. Les prémices d’une telle terminologie sont la propriété commune. Dans ces derniers temps, les triades des différents degrés de l’échelle ont été fournis à la succession cardinal chiffres-grands pour les accords majeurs, petits pour la mineure avec un petit rien ajouté pour diminuée, et une course pour les triades augmentées (Richter): V -I indique, ensuite, une succession de deux accords majeurs, dont le premier est supérieur dominante de la seconde; V -I, d’autre part, le passage d’un majeur à un accord mineur, dont le premier est supérieur dominant, etc. Mais, dans un système exempt d’harmonie, ce mode de indiquant les cordes est insuffisant. La série d’accords c majeur, A bémol majeur, ré majeur, sol majeur, c majeur -Quels un peu parfaitement intelligible période ne pouvait pas être clair selon le système de figurer ci-dessus; car, même si elle ne signifie nullement la modulation, il faudrait considérer A bémol majeur corde comme relié à F mineur ou c mineur, et l’accord D majeur, avec sol majeur. Pour une telle Succession de son, figurant dans le sens d’une échelle est pas possible: il appartient à la tonalité libre (voir ce terme) qui a été récemment reconnu, et dont les limites dépassent largement celles d’un système à l’échelle établie de l’harmonie. Cette tonalité ne reconnaît ni les accords vrai ni étrangère à l’échelle, mais seulement un bruit principal et clangs liés. Dans l’exemple ci-dessus, l’accord de do majeur est, et reste, clang principale à laquelle les autres sont appelés: la corde de A bémol majeur est son sous-troisième clang, le d accord majeur le cliquetis de son deuxième haut-cinquième, la corde G majeu celle de sa première supérieure cinquième. La première étape (c major – A bémol Majeur) penche vers le côté de la voix, le second produit par saut vers le côté harmonique (A bémol Majeur d majeur), tandis que les troisième et quatrième étapes mènent vers le clang principale. La succession A bémol majeur ré majeur ne semble pas incompréhensible, parce que, à partir de la relation qu’il a avec le cliquetis principale (A bémol-c- [g] -d), il est constitué de l’étape d’une troisième et une cinquième étape double (ou étape de un ton entier) La terminologie exigé par des considérations de ce genre doit se faire du degré de parenté avec la note principale;. ce qui provoque donc une distinction à faire entre les étapes de un cinquième, d’un troisième étapes entières de tonalité, étapes d’un tierce mineure, leader tonalité, et triton étapes. En outre, il doit être considéré que les deux clangs appartiennent à la même mode (majeur ou mineur), ou si il y a un changement. Si successions d’accords du même genre seront appelés simplement pas, et ceux de type contrairement, modifications, puis il y a quatre types de succession accord dans lequel les notes principales tiennent à la cinquième relation. Dans l’affaire de la tonalité, il fait une grande différence si une étape de la tonique prend place sur le palier supérieur, ou sur . le côté sous-ton (Cf. son) D’un accord majeur, celui-ci se révélerait en contradiction avec le principe de bruit; et, dans le premier cas, il y aurait une objection similaire à un accord mineur. Par conséquent, les mesures et les modifications des coups rythmiques dans une direction opposée se distinguent de manière appropriée par le préfixe “Contre”. La succession c majeur sol majeur, et même A mineur- D mineur (E underclang -A-underclang), est donc une (simple) fifthstep; et c majeurr – fa majeur, de même une minorité mi mineur (E-underclang-B-underclang, ou brièvement, sous-E-under-B, indiquée selon les explications données à l’article “Klangschlüssel” que e – b ), une cinquième étape contre (Gegenquintschritte). Encore une fois, c majeur- c mineur (g), également A mineur (e) – Une importante, est une (simple) cinquième changement; mais c majeur b bémol mineur (f), même A mineur (e) – b majeur, un changement contre-cinquième. Dans tous les types de succession clang les changements simples, comme ici, sont faciles à comprendre, mais les vaches changements provoquent très grande difficulté. Les tiers successions sont, par exemple: (brut) de troisième étape (c majeur- E majeur, également A mineur C dièse mineur ; contre-third-change c majeur – D bémol majeur, même A mineur mineur le troisième changement (brut) c majeur A mineur, même mineur – c majeur; enfin le troisième changement-contre, c mineur – d bémol mineur (a bémol). Chaque étape vers un ton qui se trouve à une distance crée un désir d’resort à un celui du milieu, qui a été omis, et à un tel homme, il est facile à moduler, à savoir de lui confier le sens d’un clang principale. (. Cf. Modulation) Dans son “Skizze einer neuen Methode der Harmonielehre” (1880), “Neue Schule der Melodik” (1883), et “Systematische Modulationslehre” (1887), M. Riemann a systématiquement développé cette terminologie; et aussi dans son “Musikalische Syntaxis” (1877), mais trop compliqué d’une manière, de sorte qu’il a été remplacé dans les travaux mentionnés ci-dessus par un autre plus approprié. (Cf., son, Klangvertretung et Klangschlüssel.)

Antoine Louis Clapisson
né le 15 septembre 1808 à Naples, mort le 19 mars 1866 à Paris, comme membre de l’Académie, et gardien de la collection de musique instruments du Conservatoire, le plus grand nombre dont il avait rassemblé et vendu à l’Etat; il était aussi un compositeur (vingt et un opéras, de nombreux romans, etc.).

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France