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Le son est le nom donné à des vibrations sonores de corps élastiques, son est le mot scientifique pour la terme le ton. En acoustique, une distinction est faite entre le son et le bruit; par celui-ci, on entend l’impression produite sur l’oreille par irrégulière, et par l’ancien celle produite par les vibrations régulières. Vibrations réguliers sont ceux qui se succèdent à intervalles de temps égaux, comme ceux de la pendule d’une horloge; et, comme la rapidité de la succession (période) des vibrations distinctes détermine la hauteur du son entendu, il en résulte que les vibrations de période comme produisent des sons ou bruits métalliques de constant-pitch. Depuis il a été connu que les sons de nos instruments de musique ne sont pas de simples tonalités, mais composé d’une série de tonalités simples pouvant être distinguée par un auditeur le plus attentif (mais souvent ne sont pas ainsi distingués), de terme son, dans les domaines scientifique travaux, a été remplacé par le plus général, l’un complète, son, tandis que le son est appliqué aux sons simples dans le cadre du son. La hauteur de son est déterminée par la hauteur de la plus faible, et, en règle générale, le plus fort de ses tons composés, qui sont aussi appelés tons partiels, tons aliquote. Échelle de la nature. Comme toutes les autres tonalités partielles se trouvent plus que la tonalité de sol, ton fondamental, la tonalité principale, qui donne au son, son nom, ils sont généralement croassa harmoniques, mais laissent entendre, la seconde harmonique est pas le troisième ton de la série, mais la seconde. Dans la mesure où les tons restants dessus de la tonalité de sol échappent habituellement préavis, ils sont aussi appelés tonalités secondaires, et pour autant qu’elles se tiennent en étroite (harmonique relation aux anciens aussi tons, harmoniques (fils harmoniques). Par exemple , la tonalité c la série des seize premiers sons partiels est comme suit: – compris comme des accents de connotations, en fait harmoniques secondaires, soit faire partie intégrante de les primaires (le 9ème, 3ème de la 3ème, 5ème comme 5ème de la 3ème, etc.). Si ce sont les tons écrites en blanches sont tous les éléments constitutifs de l’accord majeur de la tonalité de sol (c accord majeur), et il ne peut douter que la consonance de l’accord majeur (consonance majeure) doit être déférée à la série d’harmoniques, à savoir un accord majeur, quelle que soit la disposition des notes, doit être considéré comme un C, dans laquelle certains harmoniques (ceux qui ont répondu aux notes de l’accord produit de façon indépendante) sont renforcées. Les exemples suivants peuvent rendre cela plus clair; la faible note placée après l’accord est la tonalité de sol du C, dont l’accord doit être considéré comme le représentant: Succession des théoriciens plus savants et intelligents, et dans les dernières années, depuis M . Hauptmann (1853) par un certain nombre de jeunes théoriciens (O. Kraushaar, O. Tiersch, O. Hoftinsky), et avec une grande acuité et la cohérence par A. v. Ottingen, et par le compilateur de ce dictionnaire. La consonance est mineure lié à une série de nuances exactement de la même manière que la majeure consonance à la série de résonances: les phénomènes en acoustique qui justifient l’acceptation de cette série de voix sont celles des tons sympathiques et mixtes. Une tonalité de résonance définit organismes capables de produire des sons en vibration sympathique, dont le ton propre réponse à l’une de ses nuances, ou, ce qui est la même chose, dont le ton de sol, il est un ton supérieur. Dans tous les cas, les organismes de sondage par sympathique vibrations marque, tout d’abord, de fortes vibrations partielles (avec autant de nœuds que le ton de causalité est produit), mais ils font aussi des vibrations totales (plus faible, et donc plus difficiles à détecter). Le plus bas tonalité de combinaison d’un intervalle est toujours la première voix commune aux deux intervalles; par exemple, pour e’ g”, c ; pour c”, d”, comme c, et même pour e’ d”, c, etc. La série des seize premières nuances, prenant c”’ que le démarrage tonalité (principale). Les chiffres ordinaux des nuances représenter les cordes longueurs relatives pour la même; les ratios de vibration sont exprimés par la série des fractions simples, 1, 1/2, 1/3, etc., tout comme, de sens inverse, les ratios de cordes de longueurs pour les tons de la série harmonique sont représentés par la série des fractions simples . Par exemple, si c = 1, puis l’octave c: c’ dans un sens de la série harmonique est exprimé par 1 : 2 en ce qui concerne le nombre relatif de vibrations; mais par 1: 1/2, à l’égard de longueur de chaîne. D’autre part, cependant, dans un sens de la série de voix (en prenant c’ = 1), le taux de vibrations est exprimée par 1: 1/2, mais celle de la longueur de la chaîne par 1 : 2. Le 1ert, 2ème, 3ème, 4ème , 5ème, 6ème, 8ème, 10ème, 12ème, 16ème, etc., en fait, tous les tons de la série de voix, qui répondent aux octaves de la 1ère, 3ème et 5ème des nuances, sont des éléments constitutifs de l’accord mineur de moins de c , à savoir de la c underclang, tout comme les mêmes numéros de la série harmoniques donnent l’accord majeur au dessus de la tonalité de sol, par exemple le cliquetis supérieure (dans l’exemple ci-dessus la corde de c vtajor). Le 7, nième, 13e nuances, en fait, tous répondant aux nombres premiers de la 7e, sont de peu d’utilité tant pour la formation que les accords harmoniques primaires de la 7e Mais les chiffres obtenus par multiplication. (9 = 3 X 3, 15 = 3 X 5, etc.) sont, que des nuances secondaires, autant dissonantes contre la tonalité principale de la clang supérieure le son sous les harmoniques secondaires contre la tonalité principale. Ils ne peuvent pas, pas plus que celui-ci, être directement visé à la tonalité principale, mais seulement grâce à la médiation de tons partiels primaires, dont ils, dans leur tour, sont tons partiels primaires, soit représentent les clangs de la même; et donc leur introduction, avec des nuances primaires, dans un accord, constitue une dissonance résultant de la présentation simultanée de deux clangs. (Cf., Clang Succession et dissonance.)

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France