w_132

Victor Cheri
(Cizos, appelé Cheri), né le 14 mars 1830 à Auxerre, mort, par sa propre main, le 11 novembre 1882 à Paris. Il était un élève du Conservatoire de Paris, était un excellent conducteur, d’abord au théâtre des Variétés, puis au Châtelet, et depuis quelques années au Gymnase; charmant ballet musique composée et un opéra cornic, Une Aventure sous la Ligue (Bordeaux 1857).

Maria Luigi Zenobio Carlo Salvatore Cherubini
né (selon Choron, le 8 mais selon sa propre déclaration) le 14 septembre 1760 à Florence, mort le 15 mars 1842 à Paris. Son père, qui fut accompagnatrice au théâtre Pergola, était son premier professeur, puis Bartolomeo Felici et A. Felici, et après leur mort, Bizarri et Castrucci. En 1778, le Grand-Duc, après l’empereur Léopold II, l’a envoyé à Sarti, à Bologne, qui il a étudié le style de Palestrina pendant quelques années; sans aucun doute, il avait à remercier Sarti pour sa parfaite maîtrise du style polyphonique. Jusqu’à 1779, il a seulement écrit la musique d’église (Florence); mais en 1780 il est entré dans le domaine de l’opéra avec Quinto Fabio (produite à Alexandrie). Il bientôt suivi Armida (Florence, 1782); Adriano in Siria, Il Messenzio, Lo Sposo di Tre (Venise, 1783), Idalide, Alessandro nell’Indie (Mantoue, 1784). Dans la dernière année, il a été nommé attiré à Londres, où il a écrit La Finta Principessa et Giulio Sabino, et a reçu le appointmeüt du compositeur de la cour royale. Sa réputation était déjà faite; et aussi à Paris, où il est allé la première fois en 1787, ses talents ont reçu une reconnaissance complète. Dans l’hiver de 1787-1788, il écrit, à Brescia, Didone Abbandonata, et à Turin en Aulide Ifigenia. Dans le 1788 ans, il installe à Paris. L’opposition entre les Gluckistes et les piccinistes a été bien calculé pour mener un homme des dons de Cherubini à sérieusement pensé. Jusqu’à cette époque, il avait écrit ses opéras dans le style italien lumière, mais à partir du moment de son élimination à Paris, il est devenu un homme nouveau. Il serait trompeur de dire qu’il a suivi Gluck; il chercha profondément parmi les magasins de sa connaissance, et donc a donné de la profondeur à ses idées musicales, ses œuvres, par conséquent, est apparu à la Gluckistes, ainsi que pour les piccinistes, comme quelque chose de nouveau. Ses premières créations étaient Paris, Démophon (1788), Lodoïska (1791), ÉLiza (1794), Il Perruchiere (1796), Médée (1797), L’Hôtellerie Portugaise (1798), La Punition (1799), Emma (La Prisonnière 1799), Les Deux Journées (1800), Épicure (1800), Anacréon (1803), et le ballet, Achille à Scyros (1804). Tous ces travaux, à l’exception de Démophon (qui a été écrit pour le Grand Opera, mais n’a produit aucun effet), ont été mis en évidence au Théâtre de la Foire Saint-Germain; il se conduisit, 1789-92, à ce petit théâtre fondé par Leonard, salon de coiffure de Marie-Antoinette. En 1795, à l’organisation du Conservatoire, il a été nommé l’un des inspecteurs de l’institution. Les autres marques de reconnaissance ont été refusées, et les portes du Grand Opera sont restés fermés à lui parce Bonaparte, qui montait toujours plus haut, détesté Cherubini. Il avait pas flatteur, et avait trouvé à redire à jugement musical du général; ce l’empereur avait jamais oublié. En 1805 Cherubini a été chargé d’écrire un opéra pour Vienne, qui était d’autant plus agréable à lui comme son revenu à Paris avait été très maigres. Il alla donc Vienne, et après Lodoïska avait été mis sur la scène, Faniska suivie en février 1806 (Kärntnerthor- Theater); Haydn et Beethoven étaient pleins d’enthousiasme pour ce travail. Les événements de 1806 ont amené à Vienne en même temps que Bonaparte, qui lui avait ordonné de diriger ses concerts de la cour à Schönbrunn, mais il restaient encore en défaveur. A son retour à Paris avec Pigmalion il a fait sa dernière tentative pour gagner la faveur de l’empereur, mais encore une fois en vain. Découragé, il a ensuite lui-même livré pour une longueur de temps d’inactivité. De 1806- 1808, il a écrit à côté de rien; il a attiré des photos et a étudié la botanique. Une circonstance de hasard lui tourné vers d’autres pensées: à Chimay une église devait être consacrée, et lui, qui avait été de rester pendant un certain temps au château du prince de Chimay pour sa santé, a été invité à écrire une masse pour l’occasion. La masse noble en FA était le résultat; il y affiche sa maîtrise pure et parfaite sur le style sévère, et il est revenu à un chemin qui il avait abandonné dix-huit ans auparavant. Pour le reste, il n’a pas encore tout à fait renoncer à écrire pour la scène; il encore se poursuit crescendo (1810), Les Abencerrages (1813, au Grand Opera, mais une panne ensemble), deux œuvres de circonstance, en collaboration avec d’autres compositeurs d’opéra; Bayard à Mezières (1814) et Blanche de Provence (1821), enfin sa dernière œuvre importante, Ali Baba (1833), ont travaillé à partir Koukourgi, un opéra au début, qui était resté en manuscrit. Le succès, cependant, de sa masse à la maison et à l’étranger, renforcé sa détermination à concentrer ses énergies plus dans d’autres directions. En 1815, il a passé quelques mois à Londres, et a écrit pour la Société Philharmonique une symphonie, une ouverture, et un hymne en quatre parties pour Spring, avec orchestre. La suppression du Conservatoire au début de la Restauration privé de son poste d’inspecteur; mais en 1816, il est devenu professeur de composition, et a été nommé surintendant royal de musique, et depuis ce temps écrit messes et des motets pour la chapelle royale. En 1821, il a été nommé directeur du Conservatoire, et rapidement rétabli cette institution peu refusant sa splendeur d’antan. Un an avant sa mort, il avait retiré tous ses rendez-vous. Un catalogue des œuvres de Cherubini, établis par lui-même, a été publié en 1843 par Bottée de Toulmon; en elle sont mentionnés onze grandes masses (cinq imprimé), deux requiems, de nombreux fragments de masses (une partie d’entre eux imprimé), un credo (à 8) avec orgue, deux Dixits; un magnificat, miserere, Te Deum, chacun avec orchestre; quatre litanies, deux Lamentations, un oratorio, trente-huit motets, graduels, des hymnes, etc., avec orchestre; vingt antiennes, quinze italiens et quatorze opéras français; de nombreuses arias, duos, etc., introduites dans des opéras italiens et français; un ballet, dix-sept grandes cantates et autres compositions occasionnels avec orchestre, 77 romans, chansons italiennes, nocturnes, etc.; huit hymnes et des chants républicains avec orchestre, de nombreux canons, solfeggi, etc.; l’un et l’autre ouverture symphonie, plusieurs marches, danses de pays, etc.; six quatuors pour cordes, un quintette, six sonates pour piano, Une sonate pour deux orgues, Grand Fantasia pour piano, etc.
Sa vie a été écrit (de façon anonyme, en allemand) 1809,
par Loménie (sous un pseudonyme “Homme de Rien”), 1841;
Miel 1842;
Place 1842;
Picchianti (italien, 1844);
Rochette, 1843;
Gamucci (italien, 1869);
Bellasis (anglais, 1876).
Crowest (Londres, 1890).
En 1869, un mémorial a été érigé pour lui à Florence. La “théorie du contrepoint et fugue” bien connu n’a pas été écrit par lui, mais par son élève Halévy (voir ce terme).

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France