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Jacques Aubert le Vieux
(musicien), éminent violoniste; il est le 30 septembre 1689 à Paris, décéda le 19 mai 1753 à Belleville ; membre de l’orchestre de l’Opéra et des Concerts Spirituels, dont le chef de la bande en 1748. Il a publié un bon nombre de compositions élégantes pour le violon, et d’autres œuvres de la musique de chambre.

Prudent Louis Aubéry du Boulley
compositeur français; il est né le 9 décembre 1796 à Verneuil (Eure), décéda en février 1870 à Verneuil; élève de Jérôme-Joseph de Momigny (le 20 janvier 1762 à Philippeville en Belgique – le 25 août 1842 à Saint-Maurice), Étienne Nicolas Méhul (le 22 juin 1763 à Givet – le 18 octobre 1817 à Paris) et Luigi Cherubini (le 14 septembre 1760 à Florence – le 15 mars 1842 à Paris), au Conservatoire de Paris (jusqu’en 1815). Le nombre de ses compositions est en effet très grande (156), dont toute une série d’œuvres de musique de chambre, dans laquelle la guitare (pour laquelle il semble avoir eu une fantaisie spéciale) est combinée avec piano, violon, flûte, alto, etc.). Il a écrit “Grammaire Musicale” (1830), une méthode d’enseignement de la composition musicale.

Marius-Pierre Audran
il est né le 26 septembre 1816 à Aix (Provence), décéda le 9 janvier 1887 à Marseille, élève d’Étienne Arnaud (le 16 mars 1807 à Marseille – le 28 janvier 1863 à Marseille), ensuite au Conservatoire de Paris, où, cependant, il n’a obtenu aucune bourse. Ses parents, malheureusement, n’ont pas les moyens suffisants pour l’éduquer (Luigi Cherubini (le 14 septembre 1760 à Florence – le 15 mars 1842 à Paris) et Aimé Ambroise Simon Leborne (le 29 décembre 1797 à Ville de Bruxelles en Belgique – le 1er avril 1866 à Paris) étaient d’avis qu’il avait pas de talent) ; il a reçu, par conséquent, la formation à la fin de son ancien professeur, Étienne Arnaud. Sept ans plus tard, il était apparu avec succès à Marseille, Bruxelles, Bordeaux et Lyon devenu premier ténor à l’Opéra-Comique, Paris, soliste aux concerts du Conservatoire, et membre du jury du Conservatoire. De 1852, il a mené une vie agitée, apparaissant sur différentes étapes et de faire des tournées de concerts, jusqu’à ce qu’en 1861, il installe à Marseille, où, en 1863, il devient directeur du Conservatoire, et également professeur de chant. Il a également écrit un certain nombre de chansons agréables.

Edmond Audran
le fils de Marius Audran (le 26 septembre 1816 à Aix-en-Provence – le 9 janvier 1887 à Marseille); il est né le 11 avril 1842 à Lyon, décéda le 16 août 1901 à Tierceville (Calvados).
A étudié à l’École Niedermayer, Paris.Il est allé avec son père en 1861 à Marseille, où il est directeur musical à l’église Saint-Joseph. Il a produit 23 opéras et d’opérettes avec succès à Marseille et à Paris, également une masse, une marche funèbre pour la mort de Giacomo Meyerbeer, etc. Il était surtout connu comme compositeur d’opéra bouffe (L’Ours et le Pacha, 1862; Les Noces d’Olivette, 1879; La Mascotte, 1880; La Poupée, 1896; etc.).

Leopold Auer
il est né le 7 Juin 1845 à Veszprém, Hongrie, décéda le 15 juillet 1930 à Loschwitz près de Dresde. Il a été formé par David Ridley-Köhne ((le 5 avril 1812 à Veszprém, Hongrie – décembre 1892 à Maglód, Hongrie)) au Conservatoire de Prague, puis au Conservatoire de Vienne de 1857 à 1858 par Jakob Dont (le 2 mars 1815 à Vienne – le 17 novembre 1888 à Vienne), et enfin par Joseph Joachim ( le 28 juin 1831 à Kittsee, Autriche – le 15 août 1907 à Berlin) à Berlin. En 1863, il a reçu sa première nomination en tant que chef à Düsseldorf, en 1866, il est allé dans une capacité similaire à Hambourg, et depuis 1868, il a été violoniste solo à l’empereur à Saint-Pétersbourg, et professeur de violon au Conservatoire de cette ville.

Aufsätze
nom donné en Allemand pour les tubes de jeux d’anche, qui sont soit des pyramides inversées de bois ou de métal (orgue-métallique, également du zinc), et sont ensuite en forme d’entonnoir ou cylindrique. Les aufsätze ne sont pas essentiels pour la production de son dans les jeux d’anche, comme on peut voir à partir de l’harmonium, mais ils leur donnent une force et une plénitude qui, autrement, ils ne posséderaient pas. Plus les aufsätze élargissent au sommet, le ton sera plus brillant et pénétrant, et d’autre part, ce dernier est plus sombre et silencieux, à mesure que les aufsätze deviennent plus étroites. La hauteur du tube a une certaine influence sur le diapason: un tube cylindrique de plus de la moitié de la hauteur d’un tuyau-labium ouvert donnant la note d’anche abaisse considérablement ce dernier, et l’un de toute la hauteur abaisse d’environ une octave, etc. Ce serait une tâche intéressante pour ceux appris dans la science de l’acoustique pour essayer de savoir dans quelle mesure le phénomène mystérieux de nuances est concerné par cette question. Une enquête de ce genre serait naturellement inclure des instruments avec des languettes de anche (hautbois, clarinette) et languettes membraneuses (cors, de trompettes, etc.).

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France