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Johannes Brahms
grand musicien, né le 7 mai 1833 à Hambourg, où son père était contrabassiste, mort le 3 avril 1897 à Vienne.
Il a reçu sa première formation musicale de lui, et la formation continue d’Edward Marxsen. Une recommandation chaude de Schumann dans la Neue Zeitschrift für Musik (23 octobre 1853) a attiré l’attention de musiciens, le public, les éditeurs et le jeune homme, qui, plus tard, lentement mais sûrement, construit son temple de la renommée artistique. Après avoir travaillé pendant un certain temps comme chef d’orchestre à la Cour Lippe Detmold, il se retira dans sa ville natale, à étudier les anciens maîtres avec diligence, et venant à échéance à sa culture générale. En 1862, il se rendit à Vienne, qui est devenu sa seconde patrie. Car, bien que, après avoir mené les concerts de la “Singakademie” en 1864, il quitte Vienne, mais il ne pouvait trouver aucun endroit (Hambourg, Zurich, Baden-Baden, etc.) dans lequel il pourrait s’installer confortablement, et revint en 1869 à la ville sur le Danube. Puis, à nouveau, après avoir mené les concerts de la “Société philharmonique de Vienne” (1871-1874) jusqu’à Herbeck, qui, quant à lui, avait repris sa place de maître de chapelle de la cour, l’a remplacé, il a vécu pendant un certain temps loin de Vienne (près de Heidelberg ), mais il est revenu dans cette ville en 1878. Le degré de Mus. Doc. lui a été conféré par l’Université de Cambridge en 1877, et celle de Dr Phil. Hon. C par Breslau en 18S1. En 1886, le gouvernement prussien a nommé Chevalier de l’Ordre Pour le Mérite, avec droit de vote, et aussi membre de l’Académie des Arts de Berlin; et en 1889 il a été présenté avec la liberté de sa ville natale. Ce qui donne à Brahms une place parmi les immortels est profond, vrai sentiment qui est toujours exprimé de la manière élite. Toutes ses œuvres (à l’exception de certains datant de sa période de tempête et-stress, qui, ici et là, sont un peu ampoulé et indisciplinés) gain sur interconnaissance plus proche. Il fait beaucoup de nouvelles expériences en harmonie, et ceux-ci, au premier abord, sont source de confusion à la compréhension, mais, par cela même, d’autant plus propice à intérêt durable. L’art de Brahms de rythme peut, avec raison, être considérée comme une continuation de celle de Beethoven, dans la mesure où il a tourné à partir du mode caractéristique de Schumann d’adhérer à un certain rythme remarquable, ne conviennent que pour les petites formes, à la variété organique et à raffinement de la figuration dans le travail thématique. La syncope peu gênante à laquelle il fut d’abord partielle recule de plus en plus dans les pièces jointes. Il représente les humeurs d’une manière magistrale; Non seulement il a à ses ordres, et d’autant plus que tous ses contemporains, la tonalité étonnamment sombre, la particularité de l’art sérieux d’aujourd’hui, mais, tout autant, l’euphonie rédemptrice, la réflexion douce de la lumière éternelle qui remplit l’âme de paix et de sentiment religieux. La musique de Brahms vient directement du coeur: il ne se fait pas, mais a estimé; et cela devient de plus en plus évident, plus il est contrastée et comparée à la “image” dévergondée de la musique d’aujourd’hui, avec son objectivité calculée. La différence entre la musique qui vient du cœur et ce qui vient de la tête peut rapidement être montré en plaçant un travail de Brahms sur contre un par Bruckner, dont un si grand nombre, à l’heure actuelle, se classerait à proximité, sinon ci-dessus, Brahms. Ce dernier emploie toutes les techniques de l’art que comme un moyen pour une fin, et que longtemps, et il peut être intéressant, tourner sur et le tissage thématique ensemble des motifs seulement comme le sous-sol d’où ressort les fleurs rayonnantes de débordement sentiment, alors qu’avec Bruckner un est forcé de reconnaître la technique et un appareil instrumentale comme un but en soi, si l’on ne serait pas dépérir désir après une émotion vive. Bien que la recommandation de Schumann l’a apporté à la fois dans la note, la reconnaissance de son importance, dans la plus large cercles, ne date que de la production (1868) de son “Deutsches Requiem” (Op. 45). Ce travail noble et pourtant si charmant a ouvert les yeux de beaucoup, qui jusque-là avait le regardaient comme un bûcheur.
Depuis ce temps, chaque nouvelle œuvre de sa plume a été attendue avec espoir et de plus en plus la joie. Nous donnons ici une liste complète des œuvres du compositeur qui ont paru jusqu’à 1892, sans, toutefois, remarquer les très nombreux arrangements de même:

A. – pour Orchestre:
Deux sérénades (Op 11, dans d pour le plein, Op. 16, dans A pour petit orchestre);
quatre symphonies (Op 68, c mineur;. Op. 73, D; Op. vont, f; Op. 98, e mineur);
Variations sur un thème de Haydn (Op 56.);
“Academic Festival” Overture, Op. 80 (merci de Brahms pour le diplôme de Docteur Breslau), et Overture “tragique”. Op. 81.

B. – Concertos:
deux concertos pour piano (. Op. 15, en ré mineur; Op 83, B ‘^);
un concerto pour violon (Op 77, d.); une double concerto pour violon et violoncelle (Op. 102, un mineur).

C.
– Oeuvres vocales
avec Orchestre:
Ave Maria pour chœur de femmes et orchestre (ou orgue), Op. 12; Hymne des funérailles, pour les hommes choeur et de vent (Op. 13);
Requiem allemand, pour soli, choeur et orchestre, (Op 45.);
“Triumphlied,” pour chœur à 8 et orch. (Op 55.);
“Schicksalslied,” pour chœur et orch. (Op 54.);
“Gesang der Parzen,” pour chœur à 6 et orch. (Op 89.);
«Rinaldo», pour ténor solo, chœur d’hommes, et orch. (Op 50.);
“Rhapsodic,” pour alto solo, chœur d’hommes, et orch. (Op. 53);
“Nanie,” pour chœur et orch. (Op. 82).

D.
-musique de chambre:
Deux sextuor pour instruments à cordes; (Op 18, b7; Op 36, g.).
deux quintettes pour cordes (Op 88, f;. Op. 111, g);
un quintette pour cordes et Clar. (ré mineur, Op 115.);
trois quatuors pour cordes (op 51, c mineur et mineur;. Op. 67, B7);
un quintette avec piano (Op. 34, en fa mineur);
trois quatuors avec piano (op 25, g mineur;. Op. 26, A; Op. 60, c mineur);
cinq trios avec piano (op 8, B. mineure (entièrement révisée, 1891];.
Op. 40, e bémol (avec de la corne ou violoncelle ad lib];.
Op. 87, c; Op. loi.c mineur; Op. 114 , un mineur (avec clarinette]);
deux «sonates pour violoncelle (Op 38, e mineur;. Op. 99, f);.
trois sonates, piano et violon (Op 78, g; Op. 100, un; Op. 108 , ré mineur).
deux Sonates pour clarinette et piano (Op. 120),

E.
– Musique pour piano :
(a) à quatre mains:
Variations sur un thème de Schumann (Op. 23), des valses (Op. 39), les danses hongroises (quatre livres);
(b) pour deux mains:
trois sonates (Op 1, c; Op 2, f dièse mineur; Op 5, en fa mineur);
quatre ballades (Op. 10);
scherzo (Op. 4);
deux rhapsodies (Op. 79);
huit pièces (Op 76, Capricci et Intermezzi.);
Variations (Op 9 (Thème de Schumann];
Op 21, Op 24 (thème de Haendel];
Op. 35 (études sur un thème de Paganini], et des études (sur un thème de Chopin, sur le Perpetuum mobile par Weber, un Presto par Bach, e minor], la chaconne d mineur de Bach (pour la main gauche seule])
Fantaisies (Op. 116),
trois Intermeszi (Op. 117),
Clavierstücke (Ops. 118 & 119),

F.
-Chorale:
(a) Sacré:. “Geistliches Lied” (Op. 30, avec orgue);
23 Psaume (Op 27, pour chœur de femmes, avec orgue.);
“Marienlieder” (Op. 22); deux motets (Op 29, 5.);
deux motets (Op. 74) trois chœurs sacrés pour voix de femmes (Op. 37);
trois motets un 4 et 8 (OP n °),
(b) séculiers:..
Partie chansons: Op 31 (trois quatuors avec piano);
Op 42 (trois à 5);
Op 62 (sept lieder).. ;
Op 64 (trois quatuors avec piano);.
Op. 92 (quatre quatuors avec piano);
Op. 93 a (six lieder et des romans à 4) Op 93 b (Taffellied un 6);.
Liebeslieder-Walzer, avec piano à quatre mains (Op 52 et 65.);
“Zigeunerlieder” (Op 103 et 112, à 4, avec piano);
Op. 17 (quatre chansons pour chœur de femmes, deux cors et harpe);
Op. 44 (douze lieder et romances pour chœur de femmes, avec piano ad lib.);
Op. 41 (cinq chansons pour chœur d’hommes);
“Deutsche Fest und Gedenksprüche,” pour double chœur (Op. 109).
onze Choralvorspiele (Op. 122, posthume).

G.
-Duos:
op. 20 (trois pour soprano et alto);
Op. 28 (quatre pour alto et baryton);
Op. 61 (quatre pour soprano et alto);
Op. 66 (cinq pour soprano et alto);
Op. 75 (ballades et romances).

H.-
Chançons
Op. 3, 6, 7, 14, 19, 32, 33 (romances Magelone “”);
43, 46, 48. 49. 57. 47. 58. 59. 63, 69, 70, 71, 72, 84, 85. 86, 91 (avec alto), 94, 95, 96, 97, 105, 106, 107 (avec piano), 108, 109, et “Mondnacht.”
quatre chansons sérieuses (Op. 121), et

I.
-pour orgue:
Prélude et fugue en la mineur, fugue dans la bémol mineur.

J.
Biographies : —
Max Kalbech, dont le premier volume est paru en 1903.
“La vie de Johannes Brahms” de Florence May, 2 vol. (1905).
“Johannes Brahms” du Dr Deiters traduit par Rosa Newmarch (1888).
Deiters a écrit un compte spécial. (1880). (cf., aussi notice biographique. Vogel “Johannes Brahms”)
La deuxième édition du “Lebensbild Brahms” de Deiters parut en 1898.
“Erinnerungen an Johannes Brahms” d’Albert Dietrich (1898) et “Johannes Brahms in Erinnerungen” de Joseph Victor Widmann (1898), tous deux traduits par Dora E. Hecht (1899).

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France