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Ole
(El Ole)
Danse solo espagnole de mouvement modéré dans le temps avec le rythme castagnan 3/8

Ole Bull
(Voir Bull, 2.)

Flavio Anicio Olibrio
pseudonyme de Joh. Friedr. Agricola (q.v.).

Thomas Oliphant
écrivain zélé sur les madrigaux, né en 1799, décédé le 9 mars 1873 à Londres, membre et enfin président de la Madrigal Society.
Il a écrit:
“Un bref compte rendu de la société Madrigal” (1834);
“Un compte court de Madrigaux” (1836);
“La musa Madrigalesca” (1837; recueil des mots de quatre cents madrigaux).
Il a adapté les mots anglais aux vieux madrigaux italiens, traduit Fidelio en anglais et il a édité “Service and Responses” de Tallis.

Ole Olsen
compositeur norvégien, né le 4 juillet 1851 à Hammerfest, écrit des œuvres pour orchestre et piano des tendances les plus modernes, mais n’a jusqu’à présent obtenu la reconnaissance de son pays natal.

une fois accentué,
deux fois accentué
(Voir A.)

Franz Ondriczek
violoniste distingué, né le 29 avril 1859 à Prague. Il était le fils d’un musicien professionnel (violoniste au Théâtre national), de qui il reçut sa première instruction. À cette époque, son père dirigeait une sorte de groupe pour la musique de danse et le garçon, dont les talents musicaux avaient été développés très tôt, avait été créé pour accompagner la danse. À l’âge de quatorze ans seulement, il fut soustrait aux dangers d’une telle vie et fut intégré au Conservatoire de Prague. Trois ans plus tard, il a quitté cette institution, un virtuose fini. Un marchand de Prague lui fournit alors les moyens de poursuivre ses études à Paris sous Massart et, au bout de deux ans, Franz Ondriczek quitte le Conservatoire de Paris pour remporter le premier prix. Depuis lors, il a fait de nombreuses tournées de concerts et a partout renforcé sa réputation.

All’o Ongarese
(Hongrois.)

George Onslow
compositeur prolifique, né en particulier le département de musique de chambre, né le 27 juillet 1784 à Clermont-Ferrand (Puy de Dôme), décédé le 3 octobre 1852, petit-fils du premier Lord O .; il passa une partie de sa jeunesse à Londres, où Hüllmandel, Dussek et Cramer lui enseignèrent le piano. De retour en France, il passa régulièrement certains mois d’hiver à Pans et le reste du temps, pour la plupart, dans son domaine près de Clermont, où il pratiqua assidûment la musique avec certains amateurs, notamment la musique de chambre concertée, dans laquelle il a joué le rôle de violoncelle. Il avait déjà écrit et publié beaucoup de musique de chambre lorsque, pour pouvoir écrire avec succès pour la scène, il suivait encore des cours de composition avec Reicha.
Ses trois comiques Opéras,
L’Alcade de la Vega (1824),
Le Colporteur (1827) et
Le Due de Guise (1827),
ne firent pas forte impression sur les parisiens. George Onslow jouissait d’une grande estime dans le monde musical parisien et fut élu en 1842 successeur de Cherubini à l’Académie. Il a publié: trente-quatre quintets à cordes, tous ad lib. pour deux violons, alto et deux violoncelles, ou pour deux violons, deux altos et violoncelle, ou pour deux violons, alto, violoncelle et contrebasse
(Op. I (nos 1-3), 17-19, 23-25, 32-35, 37-40, 43-45. 51. 57-59, 61, 67, 68, 72-74, 75, 78, 80, 82; les parties de contrebasse, impossible pour les joueurs ordinaires, étaient écrit pour Dragonetti); ainsi que trente-six quatuors à cordes (Op. 4, 8, 9, 10, 21, 36 (arrangement du Trio, Op. 14), 46 – chacune des opérations contenant trois quatuors – Op. 47-50, 52- 56, 62 à 66 et 69); dix trios de pianos (Op. 3, 14, chacun contenant trois; 20, 26, 27 et 83); trois sonates pour piano (Op. 2, 13, 28), deux idem pour quatre mains (Op. 7, 22); six sonates pour violon (Op. 11, n° 1 à 3; Op. 15, 29, 31); trois sonates pour violoncelle (opus 16); un sextet (Op. 30), pour piano, flûte, clarinette, cor, basson et contrebasse (ou avec quatuor à cordes au lieu de vent); un septuor (op. 79) pour piano, flûte, hautbois, clarinette, cor, basson et contrebasse (également en quintette pour piano, violon, alto, violoncelle et contrebasse); un nonet (Op. 77) pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson et quatuor à cordes (avec contrebasse); enfin, quatre symphonies (Op. 41, 42, 69 et 71) et “La mort d’Abel”, scène solo pour basse avec orchestre. A l’heure actuelle, presque toute cette musique est presque morte; seuls ses quintets sont revitalisés de temps en temps par des passionnés de musique zélés.

Op.
Abréviation de Opus (Lat.), Opera (Ital.), œvre. Les compositeurs ont l’habitude de numéroter (numéros d’opus) leurs œuvres dans l’ordre de composition ou de publication. Op. 1, 2, etc.

Friedrich Wilhelm Opelt
théoricien, né le 9 juillet 1794, Rochlitz (Saxe), conseiller régional des finances à Plauen, plus tard à Dresde, décédé le 22 septembre 1863, en tant que conseiller privé des finances.
Il écrivit:
“Über die Natur der Musik” (1834), et
“Allgemeine Theorie der Musik, auf den Rhythmus der Klangwellenpulse gegründet und durch neue Versinnlichungsmittel erläutert” (1852).
Friedrich Wilhelm Opelt traite la musique d’un point de vue purement mathématico-physique.

Open lip pipes
(Voir Lip-pipes et instruments à vent.)