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Fides
(Lat.), (1) une chaîne de catgut.
(2) un instrument de corde.

Fidicen
(Lat.), Une lyre, une harpe ou un luthiste; en effet, un joueur sur n’importe quel instrument à cordes.

August Max Fiedler
pianiste et compositeur, né le 31 décembre 1859 à Zittau, a étudié le pianoforte avec son père (Karl August F., professeur de musique là-bas), ainsi que la théorie et l’orgue avec G. Albrecht; de 1877 à 1880, il étudia au Conservatoire de Leipzig, où il obtint la bourse Holstein; et depuis 1882, il est professeur au Conservatoire de Hambourg. Il est apparu avec succès en tant que joueur de concert et a publié un quintette et des pièces pour piano; des chansons, un quatuor à cordes, une symphonie en ré mineur (produite en 1886, Hambourg) sont en manuscrit. Il succède à Richard Barth (1850 – 1923) à la direction de l’Orchestre philharmonique de Hambourg (1904).

John Field
l’un des phénomènes pianistiques les plus originaux, né le 16 juillet 1782 à Dublin, décédé le 2 janvier 1837 à Moscou; il est issu d’une famille de musiciens doués mais d’une constitution tendre et faible. Très jeune, il devint élève de dementi, avec qui il alla en 1802 à Paris et de là à Pétersbourg. Il s’installa dans cette dernière ville comme enseignant et devint extraordinairement célèbre. Après une longue résidence dans cette ville, il rentre à Londres en 1832, où il donne des concerts avec le plus grand succès et traverse la Belgique, la France, l’Italie, etc. Sa constitution, minée par son mode de vie irrégulier, s’effondre à Naples; une famille russe l’a ramené à IN’Ioscow. La plus grande réussite de Field fut affichée dans ses Nocturnes, qui devinrent des modèles pour Chopin (sur les vingt dénommés maintenant Nocturnes, seuls douze avaient ce nom donné par F.). En outre, il a écrit pour le pianoforte sept concertos, quatre sonates, un quintet, deux divertissements (pianoforte, deux violons, flûte, alto et basse), des variations à deux mains, des rondos, etc.

Fiero
(Ital.), fier.

fifre
une simple flûte traversière (Voir, flûte), généralement soit dans la tonalité de si bémol, soit principalement dans la musique militaire en combinaison avec le side-drum, dans ce que l’on appelle des orchestres de batterie et batterie.

cercle de quintes
la rotation entre les douze quintes du système tempéré – DO – SOL— RÉ – LA – MI – SI – F dièse – DO dièse – SOL dièse – MI bémol – SI bémol – FA – DO. Quand le cercle de quinte. doit revenir à la note de départ, il doit y avoir un changement énharmonique quelque part. Les modulations à travers tout le cercle de quintes, ou une partie de celles-ci, sont pratiques, mais d’un point de vue artistique, inacceptables.

quinte parallèle
(Voir Parallels.)

Figuralmusik
(Allem.), contrepoint inégal (q.v.; cf. Figuration).

Figura muta
(Lat. et Ital.), Un repos.

Figura obliqua
(Lat.), Dans la musique mensuelle, était la réunion de deux corps de notes en un trait oblique. La Figura obliqua de la musique mensurale n’avait aucune signification particulière dans les ligatures, mais à la fin, il signifiait Imperfectio pour la dernière note. (Voir Ligature.)

Figuration
(allem. Figurierung) est la mise au point de motifs mélodico-rythmiques plus vivants dans les parties contrapuntiques accompagnant une partie donnée (contrepoint figuré, choral figuré, etc.). De plus, le terme F. s’applique à la variation d’un thème par l’introduction de figures d’accompagnement toujours plus animées, qui, dans une mesure plus ou moins large, tournent en rond et cachent le thème.

Figurato
(Ital.), Figuré ou figuratif.

Figured Bass
(Voir General Bass.)

Filar il tuono
(Ital.). (Voir Affilar il tuono.)

Giuseppe de Filippi, né le 12 mai 1825 à Milan, décédé le 23 juin 1887 à Neuilly, près de Paris, fils du médecin de même nom, décédé en 1856 (auteur “Saggio suU ‘estetica musicale” (1847). Il a vécu à Paris depuis 1846 en tant qu’écrivain, a contribué au supplément de la Biographie universelle de Fctis et a publié le “Guide dans les théâtres” (1857, conjointement avec l’architecte Chaudet) et le “Parallèle des théâtres modernes de l’Europe”. (1860).

Filippo Filippi
né le 13 janvier 1833 à Vicenza, décédé le 25 juin 18S7 à Milan, étudia le droit et obtint son diplôme à Padoue, mais se consacra bientôt entièrement à la critique musicale. Il entreprit en 1858 (après plusieurs années au sein du personnel) l’édition de la Gazetta Musicale de Milan et devint par la suite critique musical au Perseveranza. Il publie séparément une série d’articles de musique intitulée “Musica e musicisti” (1876). F. est un disciple de Wagner. Sa brochure sur Richard Wagner est traduite en allemand en 1876 (“Richard Wagner: Une musique originale de Das Reich der Zukunft”).

Filling-up Parts
(1) sont ceux qui, dans une composition de plusieurs parties, ne sont pas traités mélodiquement, mais qui, en fonction des besoins, complètent l’harmonie (à la différence de la partie mélodique, partie fondamentale (basse), parties concertantes Par exemple, les accords dans les pièces anciennes jouées par l’organiste, le cembaliste, le théorbiste, le gambiste, etc., figurant dans la figure au-dessus du continuo étaient FP (un bon accompagnateur ne se contentait pas d’ajouter des accords simples et des parcours ornementaux, mais peut introduire des figurations basées sur des motifs) Dans les œuvres de style concertant (fugue, canon, trio, quatuor, etc.), des notes supplémentaires apparaissent dans les cadences, ou dans la cadence finale, et doivent être considérées comme un remplissage, car pour le moment, ils augmentent le nombre de parties, bien que dans un tel cas il vaut mieux parler de notes de remplissage.
(2) Dans l’organe, la mutation s’arrête (quint, parties de remplissage 238). blend-stops) sont Filling-up Parts, et dans le même sens l’expression est utilisé pour les parties d’orchestre qui entrent à l’unisson avec d’autres parties pour marquer des accents ou pour intensifier le son dans les passages forts, comme c’est souvent le cas avec les trombones.

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France