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Coulé
(Voir Schleifer.)

contrepoint
selon l’usage courant actuel du terme, est, tout d’abord, une partie spéciale de la technologie musicale (la théorie en vue d’exercer), par opposition à l’harmonie qui est concerné par basses figuré; écriture polyphonique, sans chiffres, à savoir l’exposition polyphonique d’une mélodie donnée sans autre soutien d’aucune sorte. Pourtant, par un traitement contrapuntique des parties est entendu, dans un sens plus restreint, le traitement de concertante (un terme plus approprié, et qui devrait être d’usage général), dans laquelle les parties à l’envi, et ne consiste pas simplement de l’un portant la mélodie, et la simple farce harmonique reste, comme dans les opéras italiens stéréotypé de la manière la plus primitive. Dans le style concertant, toutes les pièces sont mélodique, afin qu’il y ait l’effet d’une lutte (concertatio) pour la prééminence. Un bon contrepoint (polyphonique) la conduite des parties est donc celui dans lequel ils se montrent indépendante. Pour cette indépendance, il est naturellement une limite; tout comme nous ne pouvons comprendre plusieurs simultanément, ou rapidement sons réussir si nous pouvons les relier avec un signal sonore, et d’obtenir ainsi l’unité de sens (voir Dissonance et gamme), de sorte que le mouvement indépendant de plusieurs parties ne sera intelligible, si elles le peuvent être conçu dans le sens de la même harmonie. Il est, bien sûr, de soi qu’une partie ne peut pas être dans l’échelle de A bémo, Et un autre dans g; il est cependant pas suffisante pour que les deux parties progressent dans le sens du même ton, mais la connexion de ce bruit avec les autres dans les deux parties doivent être claires. L’enseignement de cette branche du contrepoint est, encore, un peu confus. Il existe deux méthodes opposées l’une à l’autre, et il est seulement par la fusion des deux, que le bon peut être trouvée; deux d’entre eux, l’un est fondé sur des modes Eglise , et d’autre part, le moderne, sur les gammes majeures et mineures. Le compilateur de ce dictionnaire a montré, dans son “Neue Schule der Melodik” (1883), la façon dont ces éléments apparemment inconciliables peuvent être réunis. (Cf. gammes) Lorsque le nom CONTRAPUNCTUS est entré en usage (au 14ème siècle), l’art d’écrire dans les parties a déjà été développé à un haut degré. Les traités théoriques d’un Johannes de Muris, Philipp v. Vitry, et d’autres, ce qui est apparu comme “Regulse de Contrapuncto,” introduit donc vraiment rien de nouveau; mais ils sont traités sur le mode de l’écriture précédemment appelés Discantus, avec changement de terminologie. Ils commencent à partir de la note contre note (punctus contra punctum, ou contra notam), qui Muris expressément appelé Fundamentum discantus (Coussemaker, “Script”. III. 60). Vitry donne la définition: “Contrapunctus, soit nota contra notam” (dans le travail ci-dessus, 23). Muris appelle inégale contrepoint Dimimitio contrapuncti, un terme encore valable de nos jours. Les formes d’imitation du contrepoint remontent au 13ème siècle. Walter Odington (évêque de Canterbury, 1228) donne cette définition de la Rondellus: “Si quod unus Cantat, omnes par ordinem recitent” (Coussemaker, “Script.” I. 245). Dans les mains des contrepointistes des 15e et 16e siècles, ces imitations développées dans des subtilités (voir école de Netherland ), mais dans les deux siècles suivants, ils se sont simplifiées, et moulés dans la forme d’art de la fugue. Strict canon (voir ce terme) avec une entrée étroite de voix, est, en effet, qu’un artifice, un jeu avec l’art. De loin une importance différente pour la composition est la soi-disant à double Contrepoint, qui est agencé de manière que les parties peuvent échanger des lieux, le plus élevé de devenir le plus faible, ou vice versa. Double Contrepoint est dans l’octave, la dixième ou la douzième, selon que les intervalles doivent être inversé dans la huitième, dixième, douzième ou. Déjà en 1558, Zarlino, dans son “Istitutioni Armoniche,” donne une exposition claire des différents types de contrepoint double et de canon. Les traités sur le contrepoint de Martini, Albrechtsberger, Cherubini, Fétis, Bellermann, Bussler, et d’autres, sont dans le style ancien (ie sur la base des modes Église). Pour ces écrivains harmonie est seulement un accident; les règles, pour l’essentiel, sont les mêmes que celles qui étaient en vigueur lors Discant prospéré, et quand il n’y avait pas de conception claire de l’harmonie (intervalles, plutôt que l’harmonie, ont appris). D’autre part, les travaux de Dehn, Richter, Tiersch, Jadassohn, et d’autres abondent dans l’enseignement en harmonie, ou, plus exactement, leur but est d’enseigner l’harmonie par le biais du contrepoint; l’élève apprend instinctivement à traiter par le premier moyen de celui-ci. Il est déjà indiqué ci-dessus qu’une étude approfondie de l’harmonie sur les lignes de contrepoint, à savoir une union des deux méthodes, se traduira par une méthode satisfaisante de l’instruction. Deux ouvrages anglais importac ^ ont été publiés récemment: E. Front “contrepoint, stricte et gratuite,” et “Double Contrepoint et Canon.”

Contresujet
est le contrepoint dans une fugue avec laquelle la première voix continue, lorsque la deuxième voix entre avec la réponse. Le Contresujet est souvent mise à profit dans la suite de la fugue, et traité comme un second sujet, qui, dans une double fugue, il est vraiment.

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France