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Concitato
(Ital), de façon agitée.

Giuseppe Concone
né en 1810 à Turin, mort, le 1er juin 1861, comme organiste de la chapelle royale; Avant cela, il a vécu pendant dix ans à Paris comme professeur de chant (jusqu’à 1848). De ses compositions-parmi lesquels se trouvent deux opéras, Aria, scenas, etc. – vocalizzi (cinq livres) est entré en grande réputation, et sont prisées par les professeurs de chant.

Commotion-soufflet
est un petit soufflet de l’orgue, placés près du sommier, sur une ouverture dans le vent-tronc, la plaque supérieure qui est conservé la moitié soulevé par l’intermédiaire d’un ressort. Lorsque l’air est soudainement condensé, ou raréfié (par inattention de la part de l’bellows-blower, ou par l’utilisation excessive du vent par le jeu d’accords complets), par la prise en l’air superflue, ou l’étirant, le soufflet d’une commotion cérébrale régule et stabilise le vent dans le sommier.

Con Desiderio
(Ital.), Avec une expression de la nostalgie.

Con desperazione
(Ital.), D’une manière désespérée.

Con dolce maniera
(Ital), d’une manière douce.

Art de diriger
Une œuvre musicale, même dans les limites prescrites par le compositeur, peut être présenté de diverses façons, selon la conception particulière de l’interprète. Dans la représentation d’un opéra, symphonie, etc., non pas un, mais beaucoup y prendre part, et de leur conception individuelle doit donner lieu à l’un des un caractère plus général; car alors le conducteur est vraiment l’artiste performant. Les moyens par lesquels il peut donner effet à sa conception sont très limitées, en tout cas, au cours de la performance réelle. À répétition il peut expliquer par le bouche à oreille, peut chanter sur des passages aux exécutants, ou de les lire sur leurs instruments, ou marteler les rythmes avec son bâton, etc.; mais rien de la sorte peut être fait à la performance; et seulement mouvements silencieux de la bdtoti du maréchal dans sa main peuvent être les interprètes de ses intentions. Un coup d’œil jeté à un chanteur ou un joueur peut parfois s’avérer service inestimable, et un mouvement occasionnel de la main gauche peut être trouvé utile; mais encore, la conduite du bâton reste le facteur le plus important, et ses mouvements ont donc une signification conventionnelle fixe. Comme son nom allemand – Taktstock (“baguette”) -shows, sa province principal est de marquer clairement le temps, soit de donner le tempo, et marquer les accents primaires. Les principaux mouvements sont comme suit: -La première partie d’une barre est, en règle générale, indiqué par un battement vers le bas; les battements de coeur sont ni haut ni bas, et le dernier va vers le haut. Il est sans importance que le deuxième temps être prise de droite à gauche, ou vice-versa; il peut être indiqué de différentes façons. Les types usuels et les plus importantes de temps-coups sont: temps -binaire, en temps rapide (quand seulement deux est compté]); le temps ternaire, quatre temps, et le temps sextuple. Binary Quadruple temps de battre le temps triple composé est considéré comme trois fois trois, quadruple composé de quatre fois trois, mais, toujours, de sorte que le début de la barre est précisé par un battement de. une plus grande hauteur un crescendo est généralement indiquée par battements de plus de balayage, et un diminuendo dans le sens inverse;. accents pointus (sforzati, etc.) sont marquées par court, mouvements saccadés, changements de tempo (stringendo, ritardando) avec l’aide de la main gauche, mais déjà là, les caractéristiques individuelles entrent en jeu La durée d’une pause est représentée par un bâton élevé et immobile, et la fin de la même, par un mouvement courbe courte Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter l’annexe de Berlioz.. “Traité d’instrumentation” (“le chef d’orchestre”), également professeur C. Schroeder “Handbook of Conducting.” Un bon conducteur est formé seulement par la pratique; seuls les éléments peuvent être tirés de livres. (Cf., Richard Wagner, “Über das Dirigieren,” 1869)

Direction des parties
(en allemand “Stimmführung”), c’est-à-dire le traitement des parties séparées dans la composition musicale. Une distinction nette doit être faite entre les parties réelles, ce qui va de soi pour les voix, et pour les cordes et les instruments à vent (surtout instruments à vent en bois) habituels ; et le style libre, qui, surtout ces derniers temps, est employé dans la musique écrite pour instruments à clavier ou orchestre complet. L’écriture en parties réelles est aussi appelée legato ou style strict : pourtant, par style strict et libre, on entend aussi un soin plus ou moins consciencieux à éviter les progressions non vocales des parties en stile legato. Les parties réelles sont telles qu’elles se déplacent de manière distincte et indépendante tout au long d’un morceau, d’une section ou d’un nombre considérable de mesures, et semblent ainsi posséder une individualité musicale ; en eux palpite la vraie vie de la composition musicale. Elles ne peuvent pas être entièrement supprimées, même dans le style libre ; dans ce dernier, cependant, en plus des pièces réelles, des notes de remplissage sont employées ; et pour ce dernier il n’y a pas de conduite réelle des parties, bien qu’on les appelle parties de remplissage (q.v.). En ce qui concerne soi-disant polyphonie par rupture, voir article spécial. Les points les plus essentiels concernant la direction des parties peuvent se résumer en peu de mots. L’âme de la direction des parties est la progression par seconde. Plus les accords se succèdent par de telles étapes dans les parties séparées, plus l’écriture est douce, plus parfaite, à condition seulement que des parallèles défectueux (q.v.) ne surviennent pas. Même les progressions harmoniques difficiles à appréhender présentent une certaine absence de contrainte lorsque toutes ou la plupart des parties se déplacent par seconde, qu’il s’agisse de pas de ton entier, de ton principal, ou de demi-tons chromatiques. Un excellent moyen d’enchaîner les accords qui se succèdent est l’enchaînement des notes communes à deux ou plusieurs accords, ou encore celles qui sont enharmoniquement identiques. La direction de la partie de basse constitue cependant une exception, car elle passe facilement d’un ton fondamental à un autre, ce qui lui rend un service essentiel pour rendre intelligible le schéma harmonique. Le mouvement par seconde doit certainement être visé, même s’il n’est certainement pas toujours réalisable ; et juste dans la partie même qui est en grande partie libre, et qui est d’abord inventée, la vraie partie mélodique (dans la musique moderne généralement la partie supérieure), la progression par seconde est facilement échangée contre des pas plus grands, dits harmoniques. De telles étapes produisent l’effet de polyphonie par rupture (q.v.), et ainsi l’écriture s’enrichit ; du premier s’épanouit, pour ainsi dire, une seconde partie (c’est d’ailleurs fréquemment le cas en musique d’orchestre et de piano). Ceci explique pourquoi certaines progressions harmoniques impliquant de fausses relations (q.v.) peuvent être écrites sans hésitation. Au lieu d’un pas chromatique, il y a celui d’un intervalle diminué. Et les pas par intervalles diminués sont préférables à ceux par intervalles augmentés, en ce qu’ils satisfont au principe le plus important de la mélodie, le retour en arrière après un saut, tandis que les intervalles augmentés produisent en général un résultat contraire.
En ce qui concerne la tendance naturelle à la progression des notes dont la signification harmonique est difficile à saisir, la désignation des intervalles telle qu’elle est donnée sous “Klangschlüssel” offre le meilleur guide.
[Klangschlüssel [Riemann] une petite croix pour indiquer une triade majeure construite sur sa racine : с+ = C E G; un petit cercle pour indiquer une triade mineure suspendue à sa racine : °a = D F A]
Les notes qui, d’après la nouvelle figuration, ont en règle générale < nécessitent une progression de note principale vers le haut ; ceux avec > une progression similaire vers le bas. A propos de la progression simultanée de plusieurs parties, on peut remarquer que, pour des raisons totalement différentes, les consonances parfaites (octave et quinte) et les dissonances affectent l’oreille de manière désagréable. Dans le premier, le mélange des notes rend difficile la perception de leur différence (cf., Parallèles) ; tandis que dans ce dernier, il est illogique qu’une nouvelle dissonance apparaisse avant que la précédente ne reçoive sa résolution naturelle. Un bref compte rendu des points les plus importants de la direction des parties peut être trouvés dans “Simplified Harmony” de l’éditeur.

Chef d’orchestre
en allemand Capellmeister (voir ce terme).

Conductus
(Lat.), Une des plus anciennes formes de composition en plusieurs parties (12ème siècle); elle diffère de Organum et Discantus dans ce contrepoint n’a pas été ajouté à un Cantus Gregorianus dans la partie de ténor, mais cette partie a également été inventé par le compositeur. Une distinction a été faite entre Conductus simplex (en deux parties) et Conductus duplex (en trois parties, donc aussi triplum), etc.

Con facilità
(Ital.), facilement.

Con fermezza
(Ital.), Avec fermeté, à la décision.

Con festività
(Ital.), D’une manière festive.

Con Fiducia
(Ital.), Avec confiance.

Accordeur de piano à Paris, l’Ile de France